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Sarah Bernhardt
Liste créée par Pecosa le 03/11/2020
28 livres. Thèmes et genres : théâtre , theatre français , Actrices , tragédie , littérature

Sarah Bernhardt (1844?-1923) est considérée comme l'une des plus grandes actrices françaises. Surnommée" la Voix d'or" par Hugo, elle est la première comédienne à avoir fait des tournées triomphales sur les cinq continents. Jean Cocteau inventa pour elle l'expression de "Monstre sacré".



1. Ma double vie
Sarah Bernhardt
3.94★ (176)

Elle ne supportait pas qu'on tienne la plume à sa place. Parvenue au faite de sa carrière (1907), elle a tenu à rédiger - et à rédiger seule - ses Mémoires d'actrice... et d'inspiratrice de toute une époque. Un livre considéré comme un classique du genre, où Sarah révèle à la fois une personnalité incandescente et un rare tempérament d'écrivain: en un temps où le style « fleuri » était de rigueur, elle pratique une écriture nue, incisive; et surtout elle affirme un caractère épatant, d'une liberté inimaginable pour l'époque. Même les amateurs de scandale ne seront pas déçus une jeune fille de dix-huit ans qui fait ses débuts sur les planches en giflant un sociétaire de la Comédie-Française ne saurait être, à la lecture en tout cas, une personne de mauvaise compagnie... Une promenade dans les coulisses de la Belle Époque, et une formidable leçon de vie. « Elle parlait net. Écrivait dru. Pensait clair. Vécut libre. C'est ce qui est là. Toujours. » - Mathilde de la Bardonnie, Libération
2. Dans les nuages : Impressions d'une chaise
Sarah Bernhardt
2.67★ (5)

Le 22 août 1878, Sarah Bernhardt désire monter dans un de ces extraordinaires ballons développés dans le cadre de l’Exposition Universelle de Paris. À l’époque, la comédienne fait jaser en raison de son comportement de femme libérée. Le ballon est alors considéré comme un transport dangereux, et la jeune artiste comme une extravagante. Ce 22 août 1878, Sarah Bernhardt prend tout le monde à rebours et s’envole dans les nuages accompagnée de son amant, le peintre Georges Perrin : « Voilà : j’ai une envie folle de voyager, de voir autre chose, de respirer un autre air, de voir des ciels moins bas que le nôtre, des arbres plus grands, autre chose enfin ! » Avec ce récit, rédigé dès le lendemain de son exploration aérienne, c’est le lecteur que Sarah Bernhardt prend à rebours. Toujours aussi originale, la comédienne n’hésite pas à se mettre en scène sous la forme d’une pauvre chaise. C’est ainsi un objet des plus terre à terre qui livre au lecteur amusé les souvenirs de cette folle journée. Oscillant entre poésie des nuages et description pratique de l’engin, Sarah Bernhardt nous convie à goûter le champagne et le foie gras que les voyageurs ont pris soin d’emporter, planant entre la terre et l’azur, côtoyant les hirondelles. Car il s’agit bien d’un moment unique, festif et féerique qui est donné à partager. Après la jubilation de ce séjour presque irréel, le récit s’assombrit par un étonnant et macabre épisode. Il rappelle au lecteur que la vie n’est au fond qu’une tragédie, une scène de théâtre où la mort a toujours un rôle à jouer. Une vanité. Talentueux et jouissif, ce texte dévoile entre les lignes les pensées, les humeurs et par certains côtés le caractère de cette immense actrice qui continue de marquer l’art et le théâtre français. L’ouvrage est agrémenté de gravures de collection consacrées aux ballons. Édition présentée par Philippe Foubert, avec des gravures d’époque.
3. L'art du théâtre
Sarah Bernhardt
2.83★ (16)

Se fondant sur son expérience, la comédienne prodigue des conseils pratiques, notamment sur la voix ou l'importance du maquillage, en vue de se préparer aux impératifs de l'art dramatique. Elle livre également des souvenirs et des anecdotes et trace le portrait d'autres étoiles du théâtre.
4. Joli sosie
Sarah Bernhardt
2.70★ (14)

Dans le Paris joyeux et cosmopolite des années 20, la jeune milliardaire américaine Elly Gordon-Hope s'éprend du célèbre écrivain Jacques de Touzan lors d'un bal où elle s'est travestie en jolie servante. Le jeune homme, séduit par cette belle inconnue, va s'éprendre parallèlement de la véritable Elly dont il devient peu à peu le meilleur ami. Mais, obsédé par le souvenir du joli sosie, il finit par demander à la jeune Américaine de l'aider à retrouver cette femme. Comment Elly parviendra-t-elle à sortir de l'impasse où son innocent travestissement l'a conduite ? Et le jeune homme, que torture son coeur partagé entre deux amours, parviendra-t-il à deviner la vérité
6. Portraits de Sarah Bernhardt
Noëlle Guibert
5.00★ (2)

Célèbre actrice du XIXe siècle égarée dans le XXe, cette femme audacieuse et téméraire, scandaleuse aussi, incarna magistralement le somptueux théâtre d'Hugo, Dumas, Sardou, Rostand Mais elle fut aussi une extravagante voyageuse, partout attendue et désirée, qui s'attira les surnoms les plus insolites, et fit la une des journaux satiriques qui se repaissent de ses excentricités. Expression parfaite de ce que Cocteau appela "les monstres sacrés", elle affichait un penchant alors en vogue pour la morbidité qu'elle érigea en genre dans ces inoubliables scènes d'agonie de "La Dame aux camélias" ou de" l'Aiglon". Cette comédienne fur une femme de coeur, forte d'une vie intérieure assumée, d'une religiosité confinant au mysticisme, généreuse aux limites de la ruine, et elle fit la fortune ou la célébrité des peintres et écrivains de son entourage. Usant de tous ses dons, elle fut à son tour attirée par le ciseau, la plume et le pinceau. Son style influença la mode, les peintres, la littérature, les arts décoratifs. Les maîtres de l'affiche, les joailliers, les céramistes, Mucha, Lalique, Gallé, ont été lancés par Sarah. Elle inspira ou intrigua aussi Gustave Moreau, Burne-Jones, Rossetti et toute l'école préraphaélite, mais encore les essayistes, écrivains et poètes, Montesquiou, Goncourt, Wilde, Jean Lorrain, Huysmans, James et Proust, qui puisèrent en elle les élans d'une inspiration rare dans le mystère des créatures auxquelles elle donnait un semblant de réalité. Déterminée, elle fut aux côtés de Zola une ardente avocate de la cause d'Alfred Dreyfus. Protégée comme un trésor national, elle finit par accepter de quitter Paris au moment de la Grande Guerre. Bien qu'une amputation l'eût mutilée, son patriotisme lui dicta une ultime tournée américaine pour fléchir l'isolationnisme outre-Atlantique.
7. Sarah Bernhardt : L'indomptable
Evelyne Morin-Rotureau
3.67★ (17)

Indomptable, elle le fut dès son plus jeune âge, à l'école et en famille. Entrée au Conservatoire par hasard, elle est très vite adulée du public pour ses interprétations de pièces d'auteurs confirmés comme Victor Hugo, Alexandre Dumas ou George Sand... Osée, elle le fut aussi en acceptant des rôles masculins, en faisant des tournées triomphales sur les cinq continents et en jouant dans des endroits improbables comme des chapiteaux ou au théâtre aux armées sur le Front. Pacifiste affirmée, elle s'engage en 1870 puis en 1914 pour apporter de l'humanité face aux horreurs des guerres. Passionnée, elle s'intéresse à la peinture, la sculpture, la littérature et également au cinéma. Première « star » internationale, Sarah Bernhardt fut un monstre sacré du théâtre et ce jusqu'à la fin de sa vie car malgré l'amputation de sa jambe droite après un accident, elle continua de jouer, assise. Surnommée la « Voix d'or », ou encore « l'Impératrice du théâtre », elle est considérée comme une des plus grandes tragédiennes françaises du XIXe siècle.
8. Sarah Bernhardt. Madame Quand même
Hélène Tierchant
4.50★ (13)

Sarah Bernhardt est le premier monstre sacré du spectacle vivant. Son génie est d'avoir compris l'importance grandissante de la " réclame ". Chaque minute de sa vie sera mise en scène dans une frénésie de coups médiatiques et d'actions d'éclat. En 1870, pendant le siège de Paris, elle transforme le théâtre de l'Odéon en hôpital militaire et y soigne le futur maréchal Foch qu'elle retrouvera quarante-cinq ans plus tard dans les tranchées de la Marne. Gambetta, Flaubert, Rostand ou Guitry, tous sont ensorcelés par la " Voix d'or ". Elle invente les tournées mondiales et parcourt le globe jusqu'en 1917, sous son chapiteau géant, dans des tournées marathon de New York à Moscou et de Dakar jusqu'à Honolulu ! Partout le public lui fait un triomphe et les recettes se comptent en millions. Avec le même appétit elle s'attaquera à tous les arts. «On reproche à Sarah Bernhardt d'avoir abordé la sculpture, la peinture, que sais-je encore ? Cela est plaisant. Ou'on fisse une loi tout de suite pour empêcher le cumul des talents i» Emile Zola Derrière l'outrance perce la fragilité, derrière l'excentricité, une volonté presque surnaturelle : elle survole Paris en montgolfière, dévalise le zoo de Liverpool s'offrant un bébé guépard, un loup et sept caméléons, remonte sur scène après l'amputation d'une jambe (dont le cirque Barnum lui offrira - sans succès - une fortune ! Elle dort parfois dans un cercueil capitonné qui trône chez elle. Un an avant sa mort elle donne encore une série de galas au bénéfice des travaux de Marie Curie. -------------------------------------- Hélène Tierchant, écrivain et scénariste est passionnée par l'histoire du théâtre, en particulier du XIXe siècle. Elle retrace le parcours étourdissant de «la Divine», dans un luxe de détails et d'anecdotes inouïes. Avec une vraie tendresse elle donne chair à une bouleversante Madame «Quand même », prête à tout pour réussir, séductrice insatiable, ambiguë et vulnérable qui nous entraîne dans la bourrasque de sa vie exceptionnelle. «Agir et séduire... éternellement».
9. Sarah Bernhardt
Sophie-Aude Picon
3.50★ (50)

La vie de Sarah Bernhardt (1844-1923) a donné lieu à toutes les inventions. On l'a dite allemande, hongroise, algérienne, américaine, trouvée sur un banc des Tuileries; on a fait des choux gras de son type sémite et brocardé ses origines incertaines. Star avant la lettre, contrôlant son image et sachant la monnayer, la " divine Sarah " a joué un rôle primordial dans l'histoire du théâtre en France et dans la culture de son temps. Sa devise, " Quand même ", illustre bien ce que fut cette femme libre, à la volonté infatigable, élevée de son vivant au rang de trésor national. Jadis inscrite dans le " fichier des courtisanes ", celle que Victor Hugo surnomma la " Voix d'or " fut durant toute sa vie fidèle à ses préceptes : haïr très peu, mépriser beaucoup, pardonner souvent, ne jamais oublier.
12. Sarah Bernhardt : Reine de l'attitude et princesse des gestes
Claudette Joannis
3.56★ (18)

Sarah Bernhardt (1844-1923) connut de son vivant une destinée extraordinaire. Sa « voix d'or » » lui valut le qualificatif de Divine. Pendant plus d'un demi-siècle, elle incarna les héroïnes tragiques et triompha dans Phèdre, Théodoro ou L’Aiglon. Directrice de théâtre, elle monta des pièces à grand spectacle qui firent sa célébrité. Actrice moderne, elle mena une carrière internationale et sut monnayer son image de star. Se définissant comme une artiste complète, elle exposa tous les ans au Salon ses peintures et ses sculptures. Amoureuse fougueuse et exigeante, elle eut une vie sentimentale mouvementée. Elle fascinait autant par son courage et ses folies qu'elle inquiétait par sa neurasthénie et son cynisme.
13. Sarah Bernhardt : Le rire incassable
Françoise Sagan
3.61★ (102)

La biographie de Sarah Bernhardt que Françoise Sagan nous présente ici est non traditionnelle pour ne pas dire contraire à toutes les traditions. Pour sa première expérience de biographe, Françoise Sagan s'est distinguée de tous ceux qui qui ont encensé Sarah, de tous ceux qui l'ont condamnée, en prenant le parti d'interroger directement son héroïne. Des mensonges et des aveux de celle qui fut la première star du théâtre, sort ainsi une vérité qui n'a ni les rigueurs de la vérité classique ni la mollesse douteuse de la mythomanie. Une vérité ambigüe, et comme distraite, qui nous livre une Sarah plus vivante, plus brûlante, plus drôle surtout que celle que nous connaissons jusqu'ici, drôle jusque dans les plus tragiques moments de son existence, d'où le titre du livre: le "Rire incassable". Quant à Françoise Sagan, dans ce portrait-kaléidoscope, ce portrait-miroir, ce portrait-écho, très inattendu, elle pétille d'intelligence, de verve, d'esprit de cet esprit volontiers provocateur qui lui va à ravir.
14. La Divine
Michel Peyramaure
3.45★ (68)

Sarah Bernhardt... Rien de plus mouvementé, de plus passionné; de plus gai et de plus fou que cette vie-là. Si elle avait suivi le destin de sa mère et de sa tante, elle eût été courtisane. Mais, gamine, elle avait déjà trop d'orgueil : elle voulait régner. Selon les canons de l'époque (qui aimait les rondeurs), elle n'était pas belle. Mais elle avait un éclat, un regard, une voix incomparables, et un caractère de feu. Avec un appétit de conquête et de. gloire digne de Bonaparte, à sa manière, elle a régné sur un empire. Il n'est pas de superlatifs qui ne lui aient été accordés —dont la Divine, bien avant Garbo. Elle a mis l'Amérique du Nord et du Sud, la Russie, l'Europe à ses pieds. Elle est morte debout, sur sa jambe de bois, à l'âge de soixante-dix-neuf ans, après avoir consommé bien des amants et deux maris avec un appétit qui l'accompagna jusqu'au bout. Quelle vie ! Pour la ressusciter, Michel Peyramaure a choisi de faire appel aux témoins et aux acteurs de cette existence extravagante, ceux qui l'ont aimée, détestée, adorée. Cela dresse un portrait merveilleusement vivant, riche de personnages étonnants, des plus humbles aux plus célèbres.
15. Divine : Vie de Sarah Bernhardt (BD)
Marie Avril
3.72★ (133)

Sarah Bernhardt (1844-1923) est un personnage romanesque, moderne, qui prend son destin en main et bouscule les traditions. Surnommée par Victor Hugo «la Voix d'or», ou par la presse «la Divine», elle est considérée comme la plus grande tragédienne française du XIXE siècle. Jean Cocteau a inventé pour elle l'expression de «monstre sacré». Eddy Simon et Marie Avril signent une biographie aussi libre que la vie de cette femme hors du commun. Ils s'attachent particulièrement sur la période de neuf ans (1871-1880) où Sarah va construire sa légende, travailler au théâtre et va connaître la consécration.
19. Il était une fois Sarah Bernhardt
Pascale Védère d'Auria
3.50★ (7)

Élevée dans un couvent où elle sème la tempête, la jeune Sarah Bernhardt montre dès son enfance un caractère ardent et rebelle. Elle voudrait consacrer sa vie à Dieu, tandis que sa mère compte sur elle pour assurer ses vieux jours. Dans la société du Second Empire, le chemin d'une jeune fille sans fortune et sans père se réduit à celui d'un mariage d'arrangement. Mais au détour d'une conversation de salon, c'est la révélation : Sarah décide qu'avec l'aide de la Sainte Vierge, elle sera comédienne. Débute alors une carrière traversée d'orages, de coups de folie et de revers, qui l'élève au rang de " divine " aux quatre coins du monde : Paris, mais aussi Londres et les États-Unis. Jusqu'à son dernier soupir, cette femme passionnée défendra son bien le plus cher, sa liberté de femme et d'artiste.
20. Le sourire de Sarah Bernhardt
Anne Delbée
3.00★ (5)

Née entre 1841 et 1844, Sarah Bernhardt se découvre très tôt une passion pour le théâtre. À quinze ans, elle entre au Conservatoire, puis à la Comédie-Française. En 1867, elle connaît un premier succès dans "Athalie". Dès lors, la "voix d'or" interprète tous les grands rôles : Phèdre, Andromaque, Tosca, la Dame aux camélias, l'Aiglon – écrit spécialement pour elle ; elle inspirera la Salomé d'Oscar Wilde. Femme adulée et haïe, nombre d'hommes succombent à sa beauté et à son talent, ou à tout le moins l'admirent. C'est aussi une patriote attachée à "une certaine idée de la France", qu'elle défend en 1870 et qu'elle représente partout à l'étranger : en Europe, mais également aux États-Unis, en Amérique du Sud, en Australie, en Russie. Sa devise, "Quand même", résume le courage et l'énergie de cette femme, depuis son engagement en faveur de Dreyfus jusqu'à l'amputation de sa jambe malade, qui ne l'empêcha pas de se produire sur scène. Elle inspire ici un récit à deux voix : celle de l'actrice, pendant les dix jours qui précèdent sa mort en 1923 à l'âge de 80 ans, et qui se souvient des grands moments de sa vie, et celle d'un jeune biographe partagé entre l'admiration éperdue qu'il voue à cette femme et la rigueur du travail qu'il y consacre.
21. La ménagerie de Sarah Bernhardt
Jean-Luc Komada
4.00★ (2)

Lors de ses vacances dans son fortin à Belle-Île-en-Mer, Sarah Bernhardt s'entourait de sa famille et d'une joyeuse bande : le peintre Clairin, le musicien Reynaldo Hahn et bien d'autres personnages célèbres de l'époque, qu'elle recevait avec faste au milieu de ses incroyables animaux de compagnie. Dans ce récit imaginaire, son amie la peintre Louise Abbéma échange avec l'acteur Jean Mounet-Sully des courriers qui racontent au travers de multiples anecdotes délirantes, cette tragédienne extraordinaire. Louise est très proche d'elle. Mounet-Sully fut son amant. Il n'a pas été convié à Belle-Île, car ses relations avec l'actrice « à la ville comme à la scène » sont très tumultueuses. Il doit rester à Paris et fulmine. Ce vieil ours mal léché s'inquiète, en apprenant la venue auprès d'elle d'un jeune premier, Victor. Sa jalousie le force à entrer en contact avec Louise qu'il veut convaincre de devenir son espionne car elle est une invitée permanente du fortin. Victor et Gabrielle, deux personnages « fictifs » issus du monde du théâtre, échangent aussi des lettres. Ils ont à peine trente ans, ont été amants, et chacun d'eux fait entrevoir d'autres facettes de cette actrice singulière au milieu de son entourage hors du commun. Ces différents dialogues construisent une histoire originale, captivante et drôle qui s'efforce de faire vivre avec humour un être enthousiaste, romantique, provocateur, mais ô combien attachant : Sarah Bernhardt dont le militantisme politique reste toujours rempli de valeurs fraternelles et de grande modernité. Depuis cinquante-cinq ans, Jean-Luc Komada vit entre Paris et Belle-Île-en-Mer, où ses parents résidaient. Jean-Luc Komada, diplômé de l'ESSEC, ancien élève de l'École Boulle, est Chevalier de l'Ordre national du Mérite et des Arts et Lettres. Ce premier roman, "La Ménagerie de Sarah Bernhardt", a été écrit durant un hiver de tempêtes.
22. Comédienne. De Melle Mars à Sarah Bernhardt
Anne Martin-Fugier
3.00★ (7)

Anne Martin-Fugier est une des meilleures spécialistes de la vie de société au XIXe siècle. Dans ce livre, elle s'attache à faire revivre les comédiennes du XIXe siècle dans un portrait de groupe, qui met en lumière le courage et la passion, les rudesses de l'apprentissage et les marches de la gloire, les échecs et les apothéoses. La vie de ces femmes est saisie dans tous ses aspects, sordides et sublimes, mais toujours concrets. À travers leurs tribulations, c'est aussi l'histoire du théâtre au XIXe siècle qui se dessine : la scène, les directeurs de salle, les auteurs, les journaux, le public, la claque...
25. Les vibrants
Aïda Asgharzadeh
3.00★ (4)

1914. Eugène, aussi beau qu’insolent, part pour le front comme engagé volontaire. 1916. Il est blessé à Verdun et y laisse la moitié de son visage. S’ensuit alors une irrépressible descente aux enfers. Au Val-de-Grâce où il est hospitalisé, Eugène va rencontrer les architectes de sa nouvelle vie et suivre les pas d’un certain Cyrano de Bergerac… Grâce au théâtre et à la persévérance de Sarah Bernhardt, il va découvrir ce qui est au-delà.
26. La Divine Illusion
Michel Marc Bouchard
5.00★ (8)

Un jeune séminariste, fils du ministre des Finances et passionné de théâtre, s’invente une rencontre avec la divine Sarah Bernhardt lors de sa réelle venue à Québec, en décembre 1905. Alors qu’il l’informe de l’interdiction de jouer émise contre elle par monseigneur Bruchési, il prend aussi connaissance des difficultés d’un compagnon, destiné comme lui à la prêtrise. Le clergé, dans toutes ces affaires, n’a pas les mains propres : aux interdits succèdent des abus de pouvoir, et aux abus de pouvoir, les abus tout court, sordides.
27. Lucky Luke, tome 19 : Sarah Bernhardt
Morris
3.37★ (797)

Sarah Bernhardt, la grande actrice visite les Etats-Unis. Si sa visite est applaudie par une partie de la population, elle est aussi la proie des ligues de vertu qui la trouvent outrancière. Lucky Luke est chargé d'assurer sa sécurité lors de sa tournée dans le Far West. Cela donne lieu à un nouveau trajet avec embûches, que ce soit en train, en bâteau ou en chariots.
28. Elémentaire, ma chère Sarah !
Jô Soares
3.12★ (178)

Suggestion de Rasibus!
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