Claudia Boccato

Une bande-dessinée comme les filles aiment avec une jeune fille simple pleine de valeurs et de qualités. N'ayant pas encore lu le premier tome, je trouve tout de même que les personnages sont attachants tandis que d'autres sont tout à fait méprisables. La princesse est bien déchue mais on ne reste pas dans la lamentation malgré la cruauté de certaines femmes au pensionnat. La fin de ce tome donne envie de lire la suite... je recommande sa lecture à toute adulte qui souhaite retomber dans les histoires de princesses mais aussi aux collégiennes, dès la 6e.

Le jour de ses 12 ans, Sara apprend le décès de son père, ruiné par de mauvais investissements. Sans perdre une minute, Mme Minchin s'empresse de reprendre tous ses biens et n'accepte de garder Sara que pour éviter un scandal qui pourrait nuire au pensionnat... et prendre un malin plaisir à l'humilier en l'embauchant comme servante. Sara parvient à récupérer in extremis sa poupée Emilie et les voici installées dans une petite chambre sous les toits. Il faudra à Sara tout son courage pour affronter les regards et la pitié de celles qui furent ses amies, mais surtout les brimades et châtiments corporels infligés par les autres domestiques, qui voient encore en elle une petite princesse. Heureusement, toutes ses amies ne lui ont pas tourné le dos et la petite Becky, servante elle aussi, est là pour la soutenir. L'imagination débordante de Sara rendra leurs journées moins sombres...





Un deuxième tome, tout aussi beau que le premier, dans lequel le destin de Sara bascule.


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Enfin le volume que j'attendais ! Et qui correspond aussi à mon moment préféré dans le dessin animé.



Sara, qui est maltraitée par Miss Minchin, commence à recevoir des cadeaux tous les jours dans sa chambre : des couvertures chaudes, de bons repas, des livres, etc, qu'elle partage toujours avec Becky (d'ailleurs très attachante dans cette BD).

Et puis arrive le moment où elle se rend chez son voisin pour lui rapporter son petit singe : et où son identité est enfin révélée ! Elle est donc belle et bien la princesse diamant.

J'avais imaginé cette scène d'une façon un peu différente. La première chose que fait Sara en parlant de son père, c'est parler de ce "mauvais ami qui l'a trahi"... Elle ne fait pas vraiment preuve d'autant d'amertume habituellement, et pardonne aux gens assez facilement.

En revanche, je suis ravie de la façon dont les choses se terminent pour Miss Minchin. Cette fois, pas de Sara qui revient bien gentiment étudier au pensionnat et qui lui fait un chèque (ce qui arrive dans le dessin animé). Elle n'a que ce qu'elle mérite !



Bref, un volume de plus dans cette série fort sympathique, qui me donne envie de découvrir la suite.

•Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Princesse Sara?

"Depuis que j'ai posé mes yeux sur le premier tome, je ne peux plus me passer de cette sublime B.D. et j'attends chaque nouvelle sortie avec grande impatience!"



•Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

"Le tome 4 annonce enfin des jours meilleurs! Sara se réveille un matin pour trouver mille merveilles dans sa mansarde: de quoi manger, de quoi s'habiller, de quoi se réchauffer... Est-elle en train de rêver ou a-t-elle un mystérieux bienfaiteur?"



•Mais que s'est-il exactement passé entre vous?

"Comme pour les précédents tomes, la magie a opéré sans difficulté! Les dessins sont d'une telle beauté que vous avez envie de passer une heure à observer chaque page! Quant à l'histoire, elle s'adoucit enfin pour cette pauvre petite Sara et les jolies couleurs plus gaies reviennent peu à peu. Les robes et les décors feraient rêver n'importe quelle petite fille et semblent sortis tout droit d'une sublime pièce de théâtre, un enchantement!"



•Et comment cela s'est-il fini?

"Vous l'aurez compris, voilà encore un coup de coeur et je ne saurais que trop vous conseiller de vous jeter corps et âmes dans cette oeuvre! A la dernière page, nous apprenons qui nouvelle série appelée "Retour aux Indes" est prévue. Je suis à la fois contente et je la redoute, j'espère qu'elle sera à la hauteur de la première!"
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Le tome 2 de Princesse Sara nous plonge dans la nouvelle vie de l’héroïne. Les auteurs ont assez de talent pour faire en sorte qu’on ressente de l’injustice en rapport au sort de Sara. Miss Minchin est véritablement mauvaise et on a hâte, du moins pour moi, que tout lui revienne dans la figure et qu’elle paie le prix de sa méchanceté. On découvre aussi avec peine ce qui devait être la réalité dans certaines maisons bourgeoises du XIXe siècle pour les gens de service. L’histoire vient encore nous chercher de belle manière et les dessins sont toujours aussi beaux. Une histoire qui se développe bien. Une lecture à continuer.

Il y a quelques temps, je vous parlai de ma découverte du premier tome de cette série. Ce que vous ne savez peut-être pas c’est que j’ai enchainé directement plusieurs tomes tant le suspense était insoutenable.



C’est un tome plus sombre que le précédent. Fini les belles tenues et la vie de Princesse. Sara est maintenant domestique. Nous voyons aussi l’envers du décor du pensionnat. Sara va payer pour tous ces privilégiés capricieux et autoritaires qu’elle est loin d’être… Si on a envie que les choses s’améliorent pour elle, il y a toutefois un petit détail qui m’a dérangée. Son caractère trop docile en toute circonstance, trop gentil, trop lisse…



Dans ce tome, les personnalités s’affirment, les coups de cœur et les aversions se confirment. Mais ce que j’ai particulièrement apprécié ce sont les nouveaux personnages qui apparaissent et relancent l’intrigue. On a désespéramment envie de connaitre la suite.



Je ne m’attendais absolument pas à découvrir un deuxième volet aussi différent du premier. Pourtant c’est ce qui rend cette saga si addictive : sa diversité. On n’a pas le temps de s’ennuyer.



En ce qui concerne le coup de crayon je vous invite à aller voir mon avis sur le tome 1…



Un 2ème tome qui confirme mon avis sur cette série : j’adore !
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Le deuxième tome de Princesse Sara est plus intéressant que le premier. Tout d'abord, on étouffe moins sous les froufrous, et pour cause puisque Sara, ruinée par la mort de son père, a été gardée par "charité" au pensionnat comme simple bonne à tout faire. Elle vit désormais dans une misérable mansarde et est le souffre douleur de (presque) tout le monde. Mais aussi parce que sa capacité à imaginer et à rêver se développe et lui permet de surmonter toutes ces douloureuses épreuves et d'être hermétique à la méchanceté, au grand dam de la cruelle directrice. C'est somme toute ce qui fait tout l'intérêt et le charme de cette histoire qui serait, sinon, tout de même un peu mièvre.

Je continue ma découverte de cette adaptation, assez séduisante. Du livre d’origine – signé Frances Hogdson Burnett – on avait déjà pu apprécier le dessin animé (qui a marqué mon enfance) et l’on pouvait se demander en quoi une nouvelle version sous format bande-dessinée aurait un intérêt. Outre les illustrations, évidemment. Force est de constater que l’ensemble tient la route.

Pas de digression du côté de l’intrigue donc pas de violation de l’histoire d’origine (et c’est tant mieux) mais quelques détails mis en avant et surtout, l’insertion d’un côté « steampunk » comme je vous le disais déjà lorsque je vous parlais du premier volume. Cet aspect un peu « imaginaire » se marie très bien au réalisme quasi historique de l’histoire de la Petite Princesse parce qu’il est une nouvelle fois très bien dosé.

Après l’annonce de la mort de son père, notre jeune héroïne doit survivre dans de nouvelles conditions assez terribles. Haïe par la directrice et par les domestiques – sans aucune raison à part celle d’avoir un jour été riche – Sara encaisse les coups durs la tête haute, trop haute sans doute pour les pensionnaires de l’école qui la juge définitivement trop fière. Mais la petite continue à être polie, extrêmement gentille et surtout à faire marcher son imagination débordante… l’hiver semble ainsi moins glacial, la faim se fait un peu moins ressentir et la solitude n’est plus si terrible.

Niveau illustrations, c’est égal au premier volume, assez magnifique si l’on aime ce style (qui tend tout de même vers le manga, avec des personnages aux grands yeux expressifs). La couleur est ici plus sombre – la situation de Sara se dégradant fortement – mais les tenues et détails dans chaque vignette restent assez impressionnants et encore une fois, très beaux.

Même si je connais l’histoire quasiment par cœur, j’ai tout de même hâte de la redécouvrir avec les volumes suivants… vivement que Sara retrouve un peu de bonheur !
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Ce premier tome présente comment le scandale arrive. Par un simple fait divers, des enquêteurs se retrouvent à découvrir pourquoi un rédacteur en chef est assassiné, et les policiers découvrir que le pouvoir a sacrément les pieds dans la merde.

Les débuts sont un peu difficiles et butent sur une multitude de personnages qu’il faut bien arriver à discerner pour comprendre les tenants et les aboutissants du scénario. Malgré tout, l’histoire est assez intéressante.

Le graphisme est particulièrement bien réussi et les personnages bien équilibrés avec des visages d’une réalisme saisissant. Ce qui manque un peu c’est du rythme, avec parfois des passages un peu lent. Alors peut-être que je n’accroche pas à ce premier album qui me paraît trop politique.
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Je n'avais qu'une hâte revenir dans le monde de Sara. Et c'est chose faite. J'ai enfin retrouvé le sentiment que j'avais quand je regardais le dessin animé. Cette envie de prendre dans ses bras Sara, de la réconforter. Des dessins toujours aussi sublimes, une histoire fidèle, j'adore cette bande dessinée.



Dans ce tome on commence la ou le premier c'est terminer. On voit la réaction de Sara quant à la nouvelle de la mort de son père. Et c'est d'une tristesse. La méchanceté de Madame Minchin est horrible, de même que les servantes et petites pestes vivant au pensionnat. La fin me donne terriblement envie de lire la suite. J'attends juste que les réservations des tomes suivants arrivent à la bibliothèques prêt de chez moi.



Si vous avez aimé le dessin animé à l'époque où il passait je ne peux que vous conseiller cette bande dessinée.
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Connaissant déjà l'histoire de la célèbre petite princesse Sarah, j'attaque directement la série par la fin du premier cycle. Cette première lecture était tout à fait plaisante, le graphisme est véritablement magnifique mais il n'y a pas vraiment de surprises dans l'histoire, si ce n'est la présence de ses surprenants automates. L'un dans l'autre, je suis impatiente d'attaquer le tome suivant pour découvrir ce que l'auteur prévoit à Sara lorsqu'elle sera adulte et j'entends bien lire les trois premiers tomes que je n'ai pour le moment pas en ma possession pour raccrocher tous les wagons.

Alors que Sara fête son anniversaire avec ses amies, Miss Minchin apprend que Sara n'a plus aucune fortune, son père étant mort ruiné. Terminé les belles courbettes envers la "princesse", celle - ci est rabaissée au statut de servante. Les autres domestiques ont pour consigne de ne surtout rien lui laisser passer, de la traiter comme les autres voire pire. Miss Minchin tient sa vengeance. Bien que la vie devienne si différente et si dure pour Sara, elle garde sa bonne humeur, son optimisme et l'espoir.

Elle pourrait facilement nous énerver la Sara...justement parce qu'elle ne s'offusque de rien et garde le sourire en toutes circonstances (enfin presque). Et pourtant, le sentiment qui prime en nous est celui de l'injustice et de la colère. Comment peut - on infliger une telle humiliation à une enfant, comment peut - on traiter une enfant comme cela? Surtout en ces moments d'éducation nouvelle qu'est notre époque! Comme dans le dessin animé, on déteste la directrice, on déteste Lavinia, on a envie de secouer la servante de la directrice qui, sous airs offusqués, ne fait rien pour aider Sara, on a envie de protéger Sara et on espère vraiment que la roue tournera.

Avoir de l'argent, c'était avoir un certain pouvoir et de nombreux privilèges. Tu n'as pas d'argent ma pauvre Sara? Et bien sache que maintenant, tu n'es plus rien. Oh, tu peux bien avoir du coeur et de l'esprit, si tu n'as pas d'argent, tu ne mérites pas de nous parler.

En ce qui concerne les illustrations, mon avis est le même (voir plus haut) mais ça aurait été bizarre de changer d'avis en si peu de temps.


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Au final, ce que je retiens de ce premier cycle, ce sont : des dessins de toute beauté, une réécriture de l'histoire originale réussie avec brio, des ajouts ou modifications du texte de départ qui font mouche, le tout procurant un émerveillement lors de chaque page tournée. Il va s'en dire que je suis pressée de lire la suite, d'apprécier une Sara adulte et de plonger dans l'inconnu total. La grosse question c'est : Est-ce que le charme sera toujours de la partie ? Réponse dans quelque temps.
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Toujours au service de Miss Minchin, Sara subit un traitement de plus en plus difficile. Humiliée, frappée et affamée, sa tortionnaire souhaite la faire craquer, ne supportant plus sa bonne humeur à toute épreuve. Mais ses mystérieux voisins veillent toujours sur elle et transforment en secret sa mansarde en un véritable palais oriental. Robes somptueuses, repas chauds, Sara croit rêver et s'empresse de faire partager ce miracle à son amie Becky. Lorsque Miss Minchin découvre les colis adressés directement à sa servante, le doute s'empare d'elle : et si Sara avait encore de la famille pour veiller sur elle, et qui plus est, une famille richissime aux vues des présents qui lui sont envoyés ? Elle ne peut plus se permettre de la maltraiter. Le bruit court que la Petite Princesse est revenue...



Quant à ses voisins, toujours à la recherche de Mlle Crewe, ils désespèrent de la retrouver un jour.



Le tome qu'on attendait ! Les dénouements espérés pourraient clôturer la saga mais ils en marquent seulement la fin du premier cycle. Quelques histoires secondaires restent en suspens, notamment celle du jeune voisin de Sara, qui semble être tombé sous son charme. Je suis curieuse de voir comment l'histoire va se poursuivre dans les tomes suivants.
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Un très agréable moment de lecture, autant le trait et les tonalités collent impeccablement à la période de notre histoire au cours de laquelle se déroule l'action, autant l'intrigue semble elle aussi en adéquation avec l'après guerre.

En dehors de quelques anachronismes - qui ne gâtent pas l'histoire - les auteurs ont rendu un travail soigné qui, souhaitons-le, se confirmera dans les tomes suivants.

Outre ces qualités, la BD permet une approche réaliste de l'époque et du mode de vie au cours de cette tant décriée 3ème république; le volet culturel de l'oeuvre est bien présent et sa qualité indéniable.

Ce livre fait partie de ceux dont on dit "déjà fini" avec une pointe de regret.

Merci messieurs.

Ah j’adore, j’adore !!!! C’est surtout la fin heureuse que j’aime tant dans princesse Sara qu’on retrouve bien dans ce tome là. Miss Minchin est déconfite mouahahahhaha :x. Pardon je m’emballe un peu ^^. J’adore la magie de ce tome, c’est féerique ^^. C’est génial. Je sais je ne trouve pas grand-chose à dire, mais si j’en dis trop sa gâche un peu. Même si on connaît déjà un peu la fin l’auteur apporte de l’originalité à l’histoire. Mais du coup je me demande ce qu’il peut y avoir dans le tome 5 ?



En conclusion, un vrai coup de cœur pour ce tome lol. Je ne vais pas redire mes synonymes ^^.
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J’ai enfin lu le quatrième opus de Princesse Sara de Audrey Alwett, Nora Moretti et Claudia Bocatto. Ce tome clôture une partie de l’histoire avant d’entamer une nouvelle étape dans la vie de Sara.



Je ne vous résume pas l’histoire de cet opus, afin d’éviter tout spoiler. Si vous souhaitez en connaître plus sur le contexte de l’histoire, toutes les chroniques sont en lignes sur le blog.



Cet opus m’a redonné espoir. J’ai prié tout au long pour Sara, cette jeune fille touchante et forte ! Sa force de caractère est incroyable. Malgré la méchanceté de Miss Minchin, notre belle indienne ne se laisse pas abattre. Elle voit le positif de partout et cela est encourageant.



Sara nous offre une belle leçon de vie. Elle nous montre que malgré les difficultés de la vie, il y a toujours un moyen de s’en sortir et de faire ressortir le meilleur de nous-même !



Un tourbillon d’émotions m’a emporté tout au long de la lecture. J’ai eu envie de voir Miss Minchin payer pour sa méchanceté. Le désir de justice a pris le dessus. Les liens d’amitiés mis en avant sont extrêmement touchants.



Bref vous l’aurez compris : cet opus est encore un coup de cœur !
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Je tiens un compte instagram sur lequel je publie mes chroniques : labibliothequedepam



Je poursuis ma lecture de cette fabuleuse adaptation en BD et je ne suis vraiment pas déçue ! Je trouve que le scénario explore davantage la psychologie des personnages qui n’est dévoilée qu’en surface dans le dessin animé, on cerne beaucoup mieux les différents comportements de chacun. Je trouve également cette adaptation beaucoup plus crédible, alors que Sarah est très passive dans le dessin animé (ce qui m’a toujours beaucoup agacée), elle a davantage de répondant dans cette BD et réagit à la cruauté exacerbée de Miss Minchin. En dépit des drames qu’elle subit, Sara conserve sa personnalité altruiste et généreuse. Les graphismes donnent encore une fois beaucoup plus de profondeur au scénario, offrent une seconde lecture qui renforcent les sentiments éprouvés par le lecteur.



Ce que j’apprécie le plus dans cette adaptation, c’est la touche personnelle apportée par l’autrice comme les illustratrices ! On a certes une adaptation mais qui ne suit pas à la lettre le récit de base et s’en démarque par quelques petits détails qui sont beaucoup plus appropriés ! Les camarades de Sara réagissent aussi beaucoup plus que dans le dessin animé face à sa détresse et j’ai beaucoup aimé l’intervention d’Ermengarde qui n’hésite pas à défendre son amie et à affronter Lavinia.



J’ai trouvé que ce second tome nous dévoilait beaucoup plus du mauvais traitement infligé à Sara ce qui ne laisse pas indifférent (tout comme le dessin animé). On découvre l’envers du décor du pensionnat avec ses domestiques et les corvées qui leur incombent. C’est une histoire triste qui donne à réfléchir et reflète bien une époque où beaucoup d’enfants vivaient dans la misère et la précarité, ce qui fait froid dans le dos d’autant que ces situations sont loin d’avoir disparu de nos sociétés.



Est-ce que vous avez lu ce deuxième tome, qu’en avez-vous pensé ?



Ma note : 20/20 !
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Ce quatrième opus clôt un cycle, celui de l'enfance de Sara. Il y a des scènes supplémentaires qu'on ne voyait pas dans le dessin animé mais certaines scènes n'apparaissent pas. J'ai trouvé ça dommage.



J'ai apprécié le caractère bien trempé de Sara. Elle se laisse moins faire que dans le dessin animé. Je trouve que cela la rend moins mièvre et plus proche de nous. Bien entendu, je trouve que Miss Minchin ne ramasse pas assez étant donné le comportement odieux qu'elle a pu avoir avec Sara.



Pour conclure, ce premier cycle m'aura complètement convaincu par ses graphismes éblouissants et une histoire toujours aussi émouvante ! Je pense, d'ailleurs, poursuivre ma découverte avec le cycle suivant.
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Nous entrons dans les mystères de la troisième république dans un univers policiers et une enquête sur un meurtre, celui de Fabre directeur d un journal la vérité dans sa maison secondaire en bord de mer. Franck peretti est commissaire de police et s occupe de l affaire.

Les dessins sont plutôt bons et assez réalistes, mais à mon avis on ressent trop le travail sur ordinateur avec une colorisation très lisse et un manque d imperfection qui aurait valorisé les dessins. L histoire se déroule dans les années 30 avec la montée du nazisme et on est assez impatient de savoir pourquoi Peretti se retrouve incarcéré en début de tome. Le scénario reste à mon avis assez faible.