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Avancer à quatre pattes pour des bipèdes en âge de marcher sur leurs deux pieds était une torture pour le corps et pour l’âme.
Contraindre la deuxième en brisant le premier, tel était le but des nagusis. Si les muscles et les os avaient fini par s’adapter, les esprits souffraient et se révoltaient en silence. Mais à cet instant précis, c’est la soif qui prenait le pas sur toutes les douleurs.