Le proviseur du Staatsgymnasium, Federico Simzig, le considérerait comme un véritable Gorizien puisque selon lui tout Gorizien, pour pouvoir se dire tel et vivre d'une vie naturelle et sans entraves dans ce monde qui est le sien, devrait connaître l'italien, l'allemand, le Slovène, le frioulan et le vénétotriestin.