Un petit livre bien intéressant sur le tour de France bourré d'anecdotes et de portraits de personnages du Tour de France , il parle de cette passion de ces légendes qui font et ont fait le tour de France que nous connaissons , il évite aussi les pièges d'oublier de parler du dopage ou de n'en faire que le réquisitoire , il en parle comme d'un composant de ce sport même si l'on peut le regretter ; un petit livre à recommander aussi bien aux néophytes comme à tous les amateurs .
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tel le proverbe qui dit " la valeur n'attend pas le nombre des années" je dirais qu'ici, en effet, le prix est bien inférieur à la valeur du livre.
En seulement 127 pages, l'auteur nous brosse un arc en ciel des anecdotes du Tour de France, digne d'une belle encyclopédie.
Quel plaisir de le découvrir. On voyage, chronologiquement, au cœur du Tour de France.
Comment est née l'idée de la grande boucle, quels en ont été les enjeux, les intrigues. Tout est y, les noms des grands champions, les moments forts, les déboires de certains, les premiers dopages ( :- ) )
Une belle découverte, à partager sans modération même pour celles et ceux qui ne sont pas amateurs de cyclismes.
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Contre toute attente, je me suis régalée avec ce livre. Le sport ne m'intéresse pas en général et le Tour de France me paraissait de loin le moins passionnant de tous les sports à cause des affaires de dopage qui lui collent à la peau. Eh bien, il a suffi de ce petit bouquin pour que je revois entièrement mon jugement. C'est passionnant, le Tour de France, et ses héros, dopés ou pas, sont fascinants ! Je retiens l'histoire du pauvre Cépéda, mort oublié du Tour, à l'époque où les organisateurs fournissaient les montures. La sienne, défaillante, l'a lâché dans la descente du Galibier. Il n'a pas survécu à sa chute. J'imagine la silhouette d'Yvette Horner debout sur la banquette d'une voiture qui ne lâchait pas son accordéon malgré les secousses. J'ai ri des jeux de mots d'Antoine Blondin pour qui Jacques Anquetil était un "gérant de la route" en opposition aux "géants de la route". J'ai eu envie moi aussi d'appeler les cyclistes par leurs petits noms : le Blaireau, l'Aigle de Tolède, le roi Miguel... Le livre ne fait pas l'impasse sur le dopage. J'ai découvert que celui-ci existe depuis les premières éditions et que certains coureurs déjà avaient confié à Albert Londres (eh oui, le fameux journaliste en personne était sur le Tour) qu'ils fonctionnaient à la "dynamite". Mais, il y a une émotion, une beauté (tragique certes) dans cette compétition que chacune de ces 100 histoires a su traduire. L'année prochaine, je ferai peut-être bien un saut à l'Alpe d'Huez...
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Ce livre retrace brièvement l'histoire du Tour de France par le prisme de petites histoires.
Les anecdotes choisies sont intéressantes, marrantes, tragiques et répondent aux attentes du lecteur. Les points de vue des coulisses et les révélations sur les différents scandales liés au dopage sont intéressants.
J'aurai aimé que le livre dresse encore plus de portraits de cyclistes notamment plus de sprinter (c'est un point de vue assez personnel eu égard à mon admiration pour Robbie Mc Ewen). Je consens aussi qu'avec plus de portraits, le livre n'aurait plus répondu aux critères de concision d'un *Que sais-je*. En tous les cas, j'ai apprécié ce nouveau format sélectif des "100 histoires" et espère qu'il sera décliné sur d'autres thèmes.
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