j'ai entendu dans la voix de Père plus de tristesse que le jour où devant les cercueils de maman et de Fiachra, plus de tristesse que le jour où ils avaient été renversés par le camion de l'armée près de la gorge, plus de tristesse que le jour où le juge a dit " Personne n'est coupable, ce n'est qu'une tragédie ", plus de tristesse que ce jour là et tous les autres qui ont suivi.