… J’en étais venue à soupçonner que les milliers de règles mesquines qu’il imposait à ses employés (sans parler de la crainte et de la fatigue ainsi créées) avaient pour but de nous faire perdre notre assise, de nous briser. Comme un camp d’entraînement des marines, ou comme quand on n’avait pas le droit d’aller aux toilettes pendant ces séminaires où on payait pour s’en prendre plein la gueule.