Il pouvait bel et bien prononcer le mot libérateur, et dès lors la malédiction qui s’était interposée entre eux cesserait. Mais si tel était le cas, cela ne servirait malgré tout à rien. Il était tout à fait probable qu’il en fût tout autrement. Car il ne pouvait accorder cette reconnaissance à Peter. C’était aussi simple et effrayant que ça. Peter aurait beau parler et ne pas en finir de parler, continuer de lui faire la leçon, avec sa voix beaucoup trop forte et pontifiante, ça ne changerait strictement rien. Mon pauvre fils orphelin de père, pensa-t-il.