Nous les enfants, dans de tels moments, ne trouvions pas notre place. À cet âge, nous ne pleurions que lorsque nous avions très peur ou physiquement mal. Nous ignorions la douleur du cœur, celle qui ravage la raison et détruit l’âme, celle qui provoque des larmes sèches et creusent des sillons invisibles sur les visages défigurés par le chagrin.