Une partie du boulot avait été faite, et nous allions continuer, parce que l'alcool, c'était un sacré moteur pour l'imagination. Le problème, c'était plus pour se rappeler tout ce qu'on avait pu dire. Je pense qu'il faut juste partir du principe que tout ce qui ne passe pas le cap du réveil le lendemain ne mérite que l'oubli.