Bref, Frédéric (Frédéric II de Hohenstaufen) était un intellectuel scandaleusement progressiste et un souverain franchement pragmatique. Pourtant, ces tendances ne provenaient pas d’une quelconque ambivalence vis-à-vis de la foi, mais bien d’une forme d’intelligence, de nécessité, d’une capacité à compartimenter et à user de faux-fuyants, et – au fond – de son côté sicilien.