— Vous ne croyez pas vraiment cela, fit Tania. Ce n’est pas possible."
Et pourtant, si. Autrefois. J’y avais cru de toute mon âme. Lorsque j’avais combattu, ç’avait été pour des idéaux qui me tenaient à cœur.
Pendant la Grande Guerre, ç’avait été pour servir mon pays, le protéger de l’agresseur ; et après, à la révolution, je m’étais battu pour l’homme du peuple. Pour l’ouvrier, le fermier et le paysan. Pour que ma famille jouisse d’une vie meilleure sous un régime plus juste.