... l’Holocauste avait été tellement important, l’échelle avait été tellement gigantesque, tellement énorme, qu’il était facile d’y penser comme à quelque chose de mécanique. D’anonyme. Mais tout ce qui s’était passé s’était passé parce que quelqu’un avait pris une décision. Appuyer sur une gâchette, déclencher un commutateur, fermer la porte d’un fourgon à bestiaux, cacher, trahir. (p. 865)