Il avait remercié. C'était agréable de remercier. On remerciait avant la guerre. De quoi remercier, après ? Là-bas, "sais-tu de quoi je parle, Heinz, le sauras-tu un jour ?", on ne remerciait pas, ou pour ne pas recevoir des coups, remercier pour ne pas crever, c'était ainsi, là-bas.