Les passants en ce moment s'offusquaient de ses larmes qui coulaient enfin, le corps se vidait de ses larmes, mille ans de sanglots et de silences, mille ans et des poussières, ce brouillard de poussière. Les larmes sont dégoûtantes. Le kapo ricanait, et les autres, les comme Klaus, des déportés de tous poils et de toutes langues, ils grognaient leur rire : "Tu pleures comme un cochon."