Citations de Danielle L. Jensen (177)
Awake or asleep, all I see is your face. All I hear is your voice. All I feel is you in my arms. All I want is you.
𝕃𝕒𝕣𝕒 𝕟𝕖 𝕤𝕒𝕧𝕒𝕚𝕥 𝕥𝕠𝕦𝕛𝕠𝕦𝕣𝕤 𝕡𝕒𝕤 𝕤𝕚 𝕖𝕝𝕝𝕖 𝕒𝕝𝕝𝕒𝕚𝕥 𝕡𝕠𝕦𝕧𝕠𝕚𝕣 𝕤𝕖 𝕣𝕖𝕥𝕖𝕟𝕚𝕣 𝕕'𝕒𝕤𝕤𝕒𝕤𝕤𝕚𝕟𝕖𝕣 𝕔𝕖𝕥𝕥𝕖 𝕤𝕒𝕝𝕖 𝕡𝕦𝕟𝕒𝕚𝕤𝕖 𝕕𝕒𝕟𝕤 𝕤𝕠𝕟 𝕤𝕠𝕞𝕞𝕖𝕚𝕝.
Le feu et la glace ravagent parfois le monde, mais le cafard survit toujours. [...] Comme toi.
-Toi, plume-moi ce poulet; Vous deux, là ... finissez de cueillir ces légumes et allez les rincer. Quand à toi ... (Elle se tourna vers Lia.) Il y a une corbeille de linge sale qui n'attend que toi. Allez, hop.
Lia ouvrit la bouche pour protester, mais Nana ne lui en laissa pas le temps.
- Quoi ? Tu te crois trop bien pour frotter les taches sur le linge d'une vieille dame ? Avant que tu ne répondes par l'affirmative, permets-moi de te rappeler que je t'ai torché le cul un nombre incalculable de fois quand tu étais bébé, alors estime-toi heureuse que je sois encore capable de le faire moi-même.
Sans bien savoir pourquoi, elle s'attendait à la trouver froide et dure comme du métal, mais elle était chaude. Le roi replia ses longs doigts autour des siens. Elle sentit sa paume calleuse et remarqua que ses ongles étaient coupés court et que sa peau était marquée, comme la sienne, de fines cicatrices blanches. C'étaient les coupures et éraflures qu'une vie passée au combat rendait inévitables. Elle garda les yeux rivés sur cette main, parce qu'elle en tirait un étrange réconfort. Celui qui se tenait devant elle n'était qu'un homme après tout.
Or nul homme n'était invincible.
Des instruments à cordes jouaient une douce mélodie par-dessus le gazouillis de l'eau. Les musiciens étaient arrivés avec la caravane de son père, afin d'égayer l'occasion.
Elle doutait fort qu'ils fassent le trajet du retour.
- Dès qu'on sera sur la terre ferme, je vous promets que je vous égorgerai comme un cochon de lait! ( Elle avait horreur d'avoir peur, et la seule émotion capable de chasser sa terreur, c'était la colère.) Je vous étriperai dans votre sommeil!
Elle entendit des éclats de rire, puis la voix de Jor.
- Elle dévoile enfin ses réelles intentions.
- Vous préféreriez peut-être des mensonges bien cuits.
- Peut-être ... Je ne suis pas certain que mon fragile ego soit prêt à subir de telles déconvenues, et mes soldats risquent de ne plus vouloir me suivre s'ils m'entendent pleurer dans ma chope chaque soir.
- Vous n'avez qu'à pleurer dans votre oreiller. Ça étouffe le bruit.
- Quel dommage. Vous avez la langue bien pendue.
- Et ce n'est pas mon seul talent.
Un lent sourire incurva les lèvres du roi.
- J'exige des preuves.
- Je n'ai rien dit de tel. J'ai seulement dit que mon entraînement m'avait préparée à devenir une épouse et une reine, pas un soldat.
- Et en quoi consistait un tel entraînement ?
- Peut-être qu'un jour, le destin vous sourira et que vous le découvrirez, Majesté. Pour l'instant, vous allez devoir vous contenter de me talents en matière de broderie.
Pour l'instant, il n'y a que nous trois, plus la cuisinière et deux domestiques, et je repartirai demain, une fois que ma gueule de bois sera passée. ( Elle leva son verre. ) Santé !
Je vous conseille de vous mettre à l'aise plutôt que d'attendre qu'il rentre. Prenez un bain, mangez un peu de fruits, buvez un verre ... buvez-en dix.
Un royaume à sauver. Un royaume à détruire.
"Would you prefer varnished lies?"
"Possibly. I'm not certain my untested ego is ready for so much abuse. My soldiers might not follow me if they're subjected to night after night of me crying in my cup."
"Try sobbing into your pillow - it muffles the noise."
In my experience, men vote for the individual they perceive will act in their best interest. Only a few vote for the good of society, altruism being a rare quality
"You've never lost." The words came out of her mouth as a whisper, barely audible over the waves. But he heard. "I've lost a hundred times," he said turning to her. His eyes were red. "A thousand times. Every time someone died because I failed to predict just how low men and women will stoop when pushed. Just how evil they can be if pressed."
There are as many paths as there are travelers