Les peuples se ressemblent dans cet enthousiasme pour le sport. Rien ne pousse plus à boire qu’un match décisif. On boit pour fêter ou pour pleurer. On se saoule quand on a perdu. D’où la place importante de la bière dans cette triade émotionnelle (la parole étant exclue) qui comprend la joie, la tristesse et la révolte.