Il faut voir, quand il écoute Wagner, ses mains osseuses et son corps tendu, comme s’il s’apprêtait à bondir sur une proie, pour comprendre que rien n’est concret, ni anecdotique, chez cet homme. J’irai jusqu’à dire que c’est le seul être abstrait de ma connaissance. S’il ne savoure (ce n’est pas le bon verbe) que Wagner, il me fait écouter pêle-mêle Mozart (il est franc-maçon comme lui), Liszt, Debussy, Satie…