Il faut un début et une fin à toutes les histoires, et pourtant je trouve cette idée absurde. Comme si une naissance, une mort, pouvaient délimiter un espace de sens et un territoire quand l'esprit revient sans cesse sur lui-même, part, se projette, et regarde pour la millième fois un moment oublié qui n'est pourtant jamais tout à fait le même.