Harar était aussi la ville d'adoption d'Arthur Rimbaud. Le jeune poète français, qui devint une source d'inspiration majeure pour les surréalistes, s'exila dans une maison délabrée des hauteurs de la ville. Toxicomane et parfois trafiquant d'armes, il fut également, pendant une courte période, marchand de café. (p. 225)