Lorsqu’on parle des « Fabuleux Freak brothers » le terme « culte » est vraiment approprié. Véritable légende de la B.D underground américaine, cette série a eu un succès considérable, à tel point que la notoriété des personnages a largement dépassé celle de leurs créateurs. Fat Freddy, Phineas et Freewheelin’ Franklin sont en effet devenus l’incarnation absolue du hippie fumeur de joints alors que dans nos contrées les noms de Gilbert Shelton et Dave Sheridan restent plutôt méconnus.
Les aventures enfumées du joyeux trio sont anecdotiques mais très amusantes. Tout ça est très marqué par son époque, il n’y a pas la portée universelle et intemporelle qu’ont pu développer certains auteurs comme Robert Crumb par exemple. Il ne faut rien attendre de tel avec les Fabuleux Freak brothers. Toutes les histoires tournent autour du même sujet : la fumette, la dope, la défonce. Si le propos est très léger, il faut bien reconnaitre qu’on se marre bien en suivant ces zigotos, d’autant plus que le trait de Shelton est très dynamique.
Les fabuleux Freak brothers, fumez-en, c’est de la bonne !
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Les fabuleux Freaks brothers... et le chat de Fat Freddy !
Ces trois freaks, hippies cradingues, fumeurs de marijuana, ressemblent un peu aux 3 pieds nickelés français. Sauf qu'ils sont pires ! Aucune limite...
Gilbert Shelton et Dave Sheridan excellaient pour raconter des histoires de hippies déglingués à qui il arrive toujours des aventures périlleuses et hors la loi, mais toujours bon enfant, jamais de violence. Très drôle.
Retrouvez dans cet album une compilation de leurs toutes premières aventures.
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Le dernier tome de la série des Freak Brothers, avec plusieurs historiettes liés comme toujours à la consommation de toutes les drogues possibles, à des plans foireux, des changement de logement pour impayés et autres chantages. Un chapitre m'a interpellé, il a très bien pu influencé l'auteur du film "Projet X".
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Réservé pour tous les fans de cette époque et aux amateurs de délires liés aux excès de drogue uniquement....
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Lire les breaks brothers, c'est repartir dans le trip des années 70 aux States. J'aime toujours les bavures et trips de trois types et leur chat.
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Je complète ma collection et trouve toujours cela aussi drolatique. Cette bande de comparse uni par la drogue, l'alcool est jubilatoire. C'est de la dérision extrême qui flirte avec le politiquement incorrect.
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