Bien sûr, je reste réceptif et agréable au possible. Mais les collègues n’insistent pas. Même Théo a abdiqué, d’habitude si friand de nos jeux de mots hasardeux. Il ne passe plus sa tête blonde au-dessus de son ordinateur pour me lancer une grimace. Mon humour devient trop grinçant.
– Ça va en ce moment, Nicolas ?