Elle avait beau aimer les livres, sa libération, elle l’envisageait par les hommes, exclusivement par les hommes. Elle visait les étrangers, un marchand d’armes saoudien, le frère d’un dictateur africain logé à l’année au Plaza. Et comme toi elle se méfiait de ces Français qui, disait-elle, « avalent leur chiasse et croquent leur merde ».
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