David Lescot

Dans sa collection Haute Enfance, Gallimard propose des récits autobiographiques sur l'enfance.



Ce sont des témoignages ou mémoires, parfois assemblés par des tiers, ce qui est le cas pour ce petit livre de David Lescot.

Sur un projet de création théâtrale, il recueille la parole de Paul Felenbok et de sa cousine Wlodka Blit-Robertson qui ont vécu enfants l'enfer du ghetto de Varsovie, sont sortis de la guerre miraculeusement vivants mais en ayant beaucoup perdu.

Ses entretiens sont si émouvants et factuels, souvenirs faits de petites choses du quotidien, dépouillés de toute dramaturgie, qu'une idée de spectacle va s'imposer, dans une mise en scène minimaliste et intense.



Les récits croisés des deux survivants sont extrêmement touchants. Ils ressuscitent l'état d'esprit de deux enfants, dans la peur, dans la séparation, dans le déplacement de caches en caches et dans la reconstruction après guerre. Ils ont des trous de mémoires, des interrogations. Il est intéressant de constater qu'il faut une certaine distance aux conteurs pour analyser, décrypter les choix des adultes qui les entouraient. La mise en mots ouvre à la compréhension pour nous mais aussi pour eux même.

Les récits personnels sont appuyés par une vision précise du contexte géopolitique ou social. La Grande Histoire est en filigrane, avec l'engagement politique des parents, l'insurrection du ghetto, l'antisémitisme polonais, l'ambiguïté des russes.



Dans une longue introduction, l'auteur explique la genèse de ce projet, à la fois littéraire et théâtral. Il conclut par cette scène magnifique entre Paul et Antoine, l'acteur qui le représente:



Paul dit à Antoine:

"Tu as porté mon sac à dos."

Alors le soir de la dernière, Antoine est allé voir Paul, et lui a demandé: "Je te rends son sac à dos?"

Et Paul lui a répondu:

"Mais il est vide."

Ce recueil de trois pièces de théâtre de David Lescot m'a déçu. Les résumés sont alléchants, la réputation de l'auteur, son travail... Le résultat n'est pas très convaincant je trouve. Sur scène peut-être, mais à lire. ... Les trois problèmes que j'identifie sont une poussée vers l'hystérie, sans vraiment passer par un comique grotesque. La notion de "dénonciation" est très lointaine. Le deuxième est l'inconsistance thématique. Le troisième est le fait de faire parler des jeunes avec certains "modes" pas du tout jeunes. Bref, il pousse le bouchon trop loin ou pas assez. On n'y croit pas en réalisme et non plus en grotesque. Je trouve ça moyen. Attention, l'auteur n'écrit pas "mal", loin de là, c'est malin, scénique, amusant à imaginer, à voir, jouer, sans doute complexe à monter, mais à lire, gloups. La première pièce est une farce sur deux groupes de baby rockeurs et rockeuses. Les clichés font légion. Les filles hystériques, les metalleux au début parce qu'on n'écoute pas. Les techniciens prise de têtes ou obsédés. Ouais, bon... La deuxième m'est complétement passée au-dessus. J'ai cru comprendre qu'on parlait de foot. La troisième est la plus réussie je trouve. Dans une cantine, des collégiens sur trois tables se prennent la tête pour tout et rien. Le pion est au milieu, comme son nom l'indique, un pion, un dindon de la farce de la violence quotidienne. Le rythme est crescendo, quelques thématiques surgissent jusqu'à la fin en queue de poisson. Je pense qu'il faudrait que je vois ces pièces jouées ou tout simplement que je lise d'autres pièces de l'auteur pour ne pas rester sur ma faim.

C'est pour écouter Élise Caron que je suis allée voir la comédie musicale de David Lescot "La force qui ravage tout" et je n'ai pas été déçue par l'excellente mise en scène et la qualité d'interprétation des artistes. Pour autant, je n'ai pas été réceptive au texte que j'ai emprunté à la bibliothèque, édité par Les Solitaires Intempestifs.

J'ai dû effectivement revenir à l'écrit pour tenter de mieux comprendre l'intention de l'auteur qui est de montrer les effets dévastateurs d'une représentation de l'Orontea, opéra du compositeur italien Antonio Cesti, sur un groupe de personnes contaminées par ce qu'elles viennent de voir au point d'en être transformées. L'idée est excellente même si le texte ne permet pas d'entendre réellement cette musique baroque émouvante, indispensable pour montrer les passions amoureuses des couples chamboulés par cette musique.

Cinq couples hétérosexuels ou homosexuels qui ont assisté à la représentation de l'Orontea vont se croiser dans différents lieux, restaurant, hôtel et même le Parlement européen, sur deux jours.

On va aussi croiser une historienne pour décrire ce qu'est la possession artistique. Comme j'ai lu le roman de Jean Teulé "Entrez dans la danse" sur ce thème je n'ai pas eu de surprise.

Je trouve surtout que ce qui ne fonctionne pas ce sont les liens entre les situations. Les décisions présentées comme insensées n'ont rien d'extraordinaire pour moi car je n'ai pas vu en quoi l'émotion provoquée par la musique a incité Antonia à rompre ou Iris à vouloir changer de vie. J'ai l'impression que David Lescot a voulu en faire trop en laissant beaucoup de place à certains sujets loin de l'amour censé posséder les personnages, comme la lutte contre les pesticides des deux députées européennes.

Ce qui compte c'est que cette comédie musicale donne de l'énergie et de ce côté-là les comédiens-chanteurs et comédiennes-chanteuses ne sont pas en reste.





Challenge Riquiqui 2023

Challenge Cœur d’artichaut 2023

ALICIA : C'est le dernier jour de classe. Quand ça sonnera, dans une heure, c'est les vacances, les grandes: il les attend plus que tout. Mais cette fois, c'est différent. Il veut que cette heure ne finisse jamais. Il ne veut pas que les grandes vacances commencent parce qu'il a dix ans et demi et qu'il est en CM2 : il n'a pas envie d'aller en sixième. Il pense que les adultes se débarrassent d'eux en leur souhaitant "Bonnes vacances" et en leur faisant un grand sourire.Il commence à comprendre le système : c'est de l'hypocrisie totale. Ils font semblant de s'occuper des jeunes et de faire attention à eux jusqu'à la fin du CM2 : ils n'ont qu'à se débrouiller...Il a peur de la sixième. Il est censé être au paradis, en vacances en Bretagne mais il reste sur la plage comme un vieux gars. Il dit qu'il n'a plus l'âge de s'amuser, les berceuses, c'est pour les bébés comme sa soeur, mais sa force à elle, c'est de ne rien lâcher. Sa mère veut qu'il rencontre Francis qui lui apprend l'expression TPLD : Tu Pues La Défaite...

LOU : Dans cette pièce, il y a un personnage drôle, c'est le "narrateur". L'histoire m'a plus dès le début car c'est un élève qui me ressemble parce que moi aussi, j'avais peur d'entrer en sixième.

Le jeune garçon rencontre l'enfant des amis de ses parents qui a quatorze ans. Il lui explique ce qui l'attend à la rentrée au collège et lui raconte quelques aventures.

Dans l'histoire, l'enfant dit plein de gros mots.

J'ai lu ce livre en une heure et je me suis retrouvée dans la peau du personnage.

AXEL : Dans ce livre, le héros est un enfant comme moi. C'est une histoire en plusieurs parties. L'histoire m'a plus dès le début car cela parle d'un garçon qui a mon age. C'est une histoire qui se termine bizarrement pour moi, car les dernières paroles sont "J'ai peur, j'ai pas peur". L'auteur a choisi parfois des mots difficiles comme "TPLD" et "JNPPLD".

J'ai bien aimé aussi quand le garçon fait peur à sa petite soeur.

J'ai lu ce livre en une heure : j'avais très envie de le lire et je ne suis pas déçu parce que c'était une histoire plutôt amusante.

ANAELLE : Dans ce livre, on ne connaît pas le nom du personnage principal : il pourrait être un enfant de notre école. Dans cette pièce, Francis est bizarre, je ne sais pas s'il le fait exprès, mais il raconte des choses fausses sur le collège. Cette histoire se finit bien mais il manque une suite car elle se finit quand il entre au collège et on ne sait pas si son entrée en sixième s'est bien passée. J'ai aimé cette histoire. J'ai lu ce livre en deux jours. Je n'avais pas envie de le lire mais ensuite l'histoire m'a beaucoup plu.

MARINA : J'ai bien aimé l'histoire car le garçon a peur et il ne veut pas que la sonnerie sonne pour que cela soit les vacances car après les vacances,il va en sixième. Du coup,il ne va rien faire pendant les vacances. Mais il y a Francis, il va lui raconter que quand il sera en sixième, il se fera pendre au porte-manteau et qu'il se fera racketter.

MARTIN : Dans cette pièce de théâtre, il y a un personnage bizarre qui se nomme Francis qui crée un rebondissement dans l'histoire.

Quand le personnage est sur la plage, il se rappelle quand il était tout petit : c'est un retour en arrière.

L'histoire se finit bien car il n'a plus peur : on s'attendait à cette fin..

J'ai ri quand la soeur de Moi parlait mais j'ai eu des frissons quand Francis est arrivé.

J'ai lu ce livre en une heure et je n'ai pas été déçu parce qu'il me rappelle des bons souvenirs.

ALEXINA : J'ai bien aimé ce livre car je n'ai pas eu de mal à le lire : j'ai compris tout de suite de quoi cette histoire parlait. Je l'ai lu en trente minutes et je n'ai eu besoin de le lire qu'une seule fois pour comprendre l'histoire. Le personnage principal entre en sixième, comme nous. On ne connaît pas son prénom, il est désigné par le pronom "moi". Cette histoire se finit plutôt bien car il rentre au collège. Je n'ai pas compris certains mots comme "hypocrisie" et "avoir la gerbe".

CAMILLE : Le fait que grâce à ses parents, il a réussi à surmonter sa peur pour entrer au collège m'a plu et j'ai apprécié aussi que la façon de parler de sa petite soeur soit comique. Mais un certain Francis dit de choses dégoûtantes sur le collège et je n'ai pas aimé cela.

AMELIE : Le héros ne pourrait pas être un personnage de notre collège car moi, j'étais pressée d'entrer en sixième même si j'avais peur. Au début, je n'ai pas aimé cette pièce car on ne sait pas comment s'appelle le personnage principal. La fin est décevante car on ne sait pas si il a encore peur ou pas.

Beaucoup de choses nous ont plu dans cette courte pièce:

- Le héros à notre âge et on se met facilement à sa place. Le thème de la rentrée en 6ème nous concerne.

- Les répliques sont souvent amusantes : le registre familier apparaît régulièrement.

- La petite sœur est notre personnage préféré: elle est drôle par sa façon de parler et par ses réflexions. Nous nous sommes bien amusés quand nous avons essayé de l’imiter. On a aussi tenté de « traduire » ses répliques, c’était bien.

- Francis n’est pas sympathique mais il nous a plu par ses exagérations et sa façon de parler, très familière. Au lieu de rassurer le héros sur sa rentrée en ¬6ème, il fait tout pour l’effrayer davantage! C’est très drôle. Du coup, pour se venger, le héros essaye ensuite de faire peur à sa petite sœur. Et après, la petite sœur torture ses poupées!



Mais nous n’avons pas tout apprécié:

- La fin surtout nous a beaucoup déçus! On voudrait une suite : on brûle de savoir comment va se passer cette rentrée ! Les répétitions de « J’ai peur, j’ai pas peur » nous ont un peu agacés.

- Le personnage principal est trop « naïf » (Nolan R.) et sa peur est trop exagérée.

Les illustrations ont plu à quelques-uns seulement : nous préférons imaginer nous-mêmes les personnages.





Nous avons établi une fiche de lecture sous forme d'abécédaire pour résumer l'essentiel de J'ai trop peur:
Lien : http://padlet.com/6cezanneri..

Par groupe, nous avons choisi des mots qui se rapportent au livre j'ai trop peur et avons expliqué le choix de ces mots.



Peur : C'est l'histoire d'un élève qui a peur d'aller en 6ème.

Un élève du collège lui fait peur.

Dans notre classe, des élèves angoissent à l'idée d'aller au collège.

Ils sont effrayés par les insultes, les changements de classe et de professeurs.



Horreur : Dans le livre, le collège c'est l'horreur.

Francis lui fait croire qu'il va se faire taper, se faire racketter.

Il ne doit pas porter de marques mais des sous marques.



Collège : C'est un élève qui arrive au collège.

Le collège est décrit comme un endroit maudit, comme un labyrinthe.



Sixième : C'est un élève qui rentre en 6ème après les vacances, il a peur d'y aller.

Il gâche ses vacances.



Vulgarité : Dans le livre, il y a beaucoup de mots vulgaires comme « dégueulasse »



Francis Il accentue la peur du personnage du livre.

Il a subi la même chose et veut la faire vivre à un plus petit que lui.

C'est un quatrième du collège , il veut semer la terreur.



Sentiments Les personnages sont moqueurs, tristes, vulgaires, peureux, hésitants



Vacances : Ses vacances sont ennuyeuses et gâchées par la peur d'aller en 6ème



Familier : Des mots sont familiers : poiscaille, trouille, godasse, daronne,



Sœur : Elle parle bizarrement, comme un bébé « avadanalé au tartifice »

THOMAS

J’ai trouvé que ce livre était émouvant et vulgaire

Dans cette histoire,il y a des scènes qui font peur comme celle où Francis dit que le collège c’est une misère.

Tu peux te faire racketter ou de te faire appeler TPLD

C’est vulgaire car ils disent des gros mots. J’ai lu ce livre en me disant dans ma tête, je n’ai pas envie d’aller au collège.

La fin est bien car il va quand même au collège malgré toutes ses peurs

Cette histoire donne le frisson car on sait que la sixième c’est l’horreur.



LILOU

J'avais très envie de lire ce livre et je ne suis pas déçue parce qu'il était marrant.

C'est une histoire qui finit par du suspense.

Ce qui m'a plu dans le livre c'est que le personnage nous ressemble un peu car il est en CM2 comme nous et on se demande aussi comment ça va se passer en 6 ème.



ADRIEN

Dans ce livre, j'ai lu que le personnage principal avait dix ans et demi et allait en sixième à la fin des vacances.

Et puis, le début du livre m' a plu, mais j' ai moins aimé la fin.

La petite sœur était très drôle car elle parlait bizarrement.

Je pense que si Francis n’était pas là le petit garçon serait moins stressé d'aller au collège.

Je suis sûr que ce livre serait super avec moins de gros mots.

Cette histoire est composée de plusieurs parties et elle finit bien.



ANTOINE

Le héros de cette l'histoire s’appelle David Lescot.

Il ne pourrait pas être un enfant de notre école car il n' y a pas de CM2 comme lui.

Je trouve que ce personnage est drôle.

Je trouve qu'il n’y a pas de rebondissement.

Il y a des retours en arrière car il dit toujours qu'il est stressé.

Cette histoire m'a plu car il raconte comment ses vacances se passent.

Je trouve que la fin de cette histoire est inattendue.

J'ai lu des mots difficiles comme hypocrisie.



DIMITRI



L'histoire m'a plu dès le début car il parle de la dernière journée de classe.

C'est une histoire qui finit bien.

La fin est étonnante car il a peur.

Dans cette pièce de théâtre, l'auteur nous met sur de fausses pistes car les 3ème ne rackettent pas les 6ème.

Cette pièce de théâtre m'a fait découvrir le mot « racketter ».

J'ai lu ce livre en 1h.



JADE



Dans ce livre, le héros s'appelle moi,

Il y a un personnage drôle,

Au début, il a peur car Francis lui raconte comment va se passer la sixième.

L'histoire m'a plu dès le début car c'était marrant,

La fin est étonnante car il n'a plus peur d'aller en sixième,

Il y avait des mots inventés, comme (avadalé à tartifice),

Cette histoire m'a fait rire et peur aussi car je vais rentrer en sixième aussi.

J'ai lu ce livre en plusieurs jours,j'avais envie de lire ce livre car j'ai aimé le titre.



JUSTINE

Dans cette pièce de théâtre, il y a une personne vraiment bizarre c'est Francis.

Au début, j’ai eu un peu de mal car il restait tout le temps sur le même sujet.

La fin de cette histoire est décevante.

C'est une pièce de théâtre qui m'a fait découvrir tout ce que n'était pas la sixième.

J'avais très envie de lire ce livre et j'ai été déçue par la fin: j'aurai bien aimé lire ses premiers jours en sixième.





LYSA

Le personnage pourrait être un enfant notre école parce qu'il est en classe de CM2 et qu'il va passer en classe de 6éme comme nous.

Dans cette pièce de théâtre, il y a un personnage méchant : Francis, car il inquiète le personnage sur la 6éme.C'est une histoire en plusieurs parties car il parle de jours différents.

L'histoire m'a plu dès le début car c'est marrant et aussi car ça nous concerne.

C'est une histoire qui finit mal car on n'a pas plus d'informations sur la 6éme.

J'ai lu ce livre en une semaine.

Je ne connaissais pas ce livre mais je suis contente de l'avoir lu car j'ai apprécié et c'était drôle.



MATHILDE

Dans ce livre le héros s’appelle « moi ».

Il pourrait être un enfant de notre école.

C'est une pièce de théâtre qui m’a donné des frissons.

Ce livre m’a rappelé un autre livre que je lis en ce moment et qui s’appelle : journal d'un nul débutant. J’ai lu ce livre en 1 h

J’avais très envie de lire ce livre et je ne suis pas déçue parce que c'était drôle et ça donne de fausses informations sur la sixième.



MELINA

Le héros pourrait être un enfant de notre école parce qu’il est en cm2, il va rentrer en 6éme.

Dans cette pièce de théâtre, il y a des rebondissements et plusieurs parties.

L’histoire m'a plu dès le début, elle m’a fait rire même si j’ai trouvé la fin décevante.



JULES

Dans cette pièce de théâtre, il y a sa sœur qui ne sait pas parler.

Cette histoire est en trois parties: la fin du cm2, les grandes vacances, la rentrée en 6 ème.

L’histoire m'a plu dès le début car cela raconte un peu ma vie.

La fin est brutale car il n’y a pas de suite.

Dans cette pièce de théâtre, l'auteur nous met sur des fausses pistes, il nous dit que les 3 ème sont méchants, qu’ils vont nous taper alors que cela n'est pas vrai.

Cette histoire m'a fait rire.

C’est dommage car nous ne savons pas ce qu'il se passe au collège.



OCEANE

C'est l'histoire d'un garçon qui va rentrer en 6éme.Il pourrait être dans notre école parce qu'il est actuellement en CM2.Dans cette pièce le personnage principal et sa petite sœur sont vraiment

drôles. Cette histoire m'a fait rire. Ce qui me plaît le moins dans ce livre c'est qu'on ne connaît pas le prénom du personnage ainsi que le passage où Francis a essayé de faire peur au garçon. La fin est un peu inattendue parce qu'on attend une réponse c'est-à-dire comment va se passer la rentrée en 6éme.



PHILEAS

Le personnage pourrait être moi mais je n'ai pas les mêmes sentiments que lui.

Il est égoïste, méchant et ridicule de s'isoler du monde. L'histoire est découpée en chapitres qui représentent les décomptes de jours avant la rentrée.

Au début j'ai eu un peu de mal il était égoïste mais après il était drôle.

L'histoire m'a fait rire il est drôle dans sa discussion mais pas dans son comportement.



EVA

Le personnage pourrait être un enfant de notre école il a à peu près le même âge que nous et en plus il est en CM2 et il va rentrer en 6ème.

Dans cette pièce de théâtre il y a un personnage vraiment drôle, c'est la sœur car elle ne sait pas parler.

C'est une histoire en plusieurs parties par exemple il y a j-60 J-48.

Au début j'ai eu un peu de mal car quand j'ai lu le livre il y avait des gros mots et ça m'a surprise.

L'auteur a parfois choisi des mots difficiles comme TPLD.

Cette histoire m'a fait rire car le garçon a peur de rentrer en 6ème.

J'ai lu ce livre en 2 jours.

J'avais envie de lire ce livre et je ne suis pas déçu parce que dès la couverture je savais que ça allait être drôle.



VICTOR



Dans ce livre on parle d'un garçon de 10 ans, il pourrait être dans notre classe car il est en classe de cm2 comme moi.

L'histoire m'a plu dès le départ car il parle comme nous, il se demande comment ça va se passer l'entrée en 6 ème, car il va devoir changer plusieurs fois par jour de professeurs et de salle de classe. Au début de l'histoire il nous parle de ses vacances : qu'il aimerait bien jouer avec ses copains, mais il est toujours en train de penser au premier jour de sa rentrée de 6 ème et plus les vacances passent, moins il dort. Du coup, il demande à un grand de lui expliquer comment ça va se passer en 6 ème.

J’ai aimé ce livre car je me suis reconnu dans ce personnage car je suis sûr que le jour « j » j'aurai peur mais qu'en fin de compte tout se passera bien.





ANTOINE

Dans cette histoire il y a des retours en arrière. Il explique que les vacances précédentes étaient bien mais pas celles-là .Cette histoire est en plusieurs parties. Elle m’a plu dès le début.

C’est une histoire qui se finit brutalement. L’auteur a choisi des mots difficiles comme l'hypocrisie, daronne, gruger et briffe. Cette histoire m’a fait rire.J’étais obligé de lire ce livre et je ne suis pas déçu.

Deux miracles de théâtre et de langage, lutte libératoire et ses lendemains, même lointains.



Sur mon blog : http://charybde2.wordpress.com/2015/07/12/note-de-lecture-nos-occupations-suivi-de-la-commission-centrale-de-lenfance-david-lescot/


Lien : http://charybde2.wordpress.c..

C'est l'histoire de « moi », un collégien de 12 ans qui se retrouve en 6D alors que tous ses amis sont en 6C.

Il devient délégué alors qu' il ne s'est même pas présenté, c'est Marguerite qui est la deuxième déléguée.

Ce livre était très bien malgré qu'il ne dit jamais son nom et qu'il s'appelle toujours « moi ». Il raconte son histoire à la 1ère personne.

(Théo, Koga)



J'ai trop d'amis

l'auteur : David Lescot

Un garçon rentre au collège. Ses copains sont en 6C et lui en 6D . Il se trouve des nouveaux amis et il remarque que toute la classe de 6D est populaire. Il trouve une amoureuse ...

Ce livre rappelle des choses vécues .

Il est un peu ennuyeux , lent , et la fin est surprenante .

Je recommande ce livre à ceux qui aiment les histoire vraies et qui cherchent un livre facile.

Maria et Luna



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Histoire de collégiens

De : David Lescot

Cette pièce de théâtre se passe de nos jours dans un collège.

C'est l'histoire d'un petit garçon qui passe en 6ème et se retrouve tout seul dans une classe alors que tous ses copains sont dans une autre.

Dans sa classe il y a : Clarence le populaire, Marguerite, Coralia et Basile avec qui il s'entend bien.



Le livre raconte la vie de collégiens, c'est un livre simple. La fin est assez bien mais sans surprise on s'y attend. Je ne le recommande pas trop car il est lent, ennuyeux et des fois incompréhensible .

Rose

J'ai un avis positif sur ce live car il parle de rap et j'aime bien le rap , il est aussi facile a comprendre et c'est aussi un livre qui montre une belle image du rap car le rap et souvent mal perçu

N.D



J'ai bien aimé le livre car il représente bien le rap old school et les raps contender

TL



J'ai bien aimé le livre car il parle de rap et il s'embrouille avec le prof

P.L



l'histoire parle d'une classe de collégiens qui participent a un cours sur le rap et le hip hop .Le professeur annonce aux élèves qu'il y a une interrogation orale sur le cours précèdent,il choisit un élève au hasard et tombe sur Amide.Celui-ci commence à l'interroger mais Amine ne sait pas sa leçon , donc le prof lui dit que sa note sera plus pres de zéro que de vingt. Amine ,énervé commence à raper et à clasher ce dernier , le cours se transforme ainsi en battle et rap contenders. N.D.





j'ai adoré le livre car ils apprennent une matière que la plupart des élèves aimeraient apprendre le rap.



Ce livre raconte l'histoire d'un prof de rap et d'un élève du nom de Amine.Amine se fait interroger et cela se termine en clash entre Amine et le prof .A la fin du clash le prof lui met une note sur 7 pour le clash et il lui donne des conseils pour améliorer son clash j'ai bien aime ce livre car cela pale du rap d'une bonne manière et cela donne une bonne image aux personnes qui ne connaissent pas du tout le rap et j'ai trouver l'histoire originale.

D.D.F

livre compliquer à lire et je trouve qu'il n'est pas asser réfléchit bien que le début est plutôt bien trouvé est j'ai considérer le travail fait pour trouver le clache prof-élève . bye

Réfection, rien à voir avec un chantier ou une reconstruction. Finalement les gamins là-dedans sont les mêmes qu’au réfectoire de notre jeunesse. D’une table à l’autre, les mêmes querelles, les mêmes questions provoc’, les mêmes luttes de pouvoirs. Et le pion au milieu, cynique et blasé de gérer ‘les morts’. Ya juste le thème des discussions qui change (et s’il y avait du porc dans les bouchées à la reine ?), le niveau de violence (les ados se font justice eux-mêmes cutter au poing, prêts à défigurer l’autre pour une histoire de ballon). Une petite pièce qui tient le temps de la cantine, le temps d’un service, idéale pour une mise en appétit, avec une distribution à choisir, des phrases à faire répéter, pour jouer sur tous les tons. Une langue assez juste, sans trop d’expressions de djeun’s et la bonne idée des bouchées.

L’auteur développe une réflexion émouvante sur ‘avoir de la mémoire/écrire ses mémoires’ et donc le rapport que chacun d’entre nous entretient avec le temps qui passe. Qu’on le conserve ou qu’on l’escamote, subrepticement, le temps nourrit notre présent.
Lien : https://www.ricochet-jeunes...

Le début de l‘histoire est bien car il y a une intrigue et cela nous donne matière à réfléchir. L’auteur a voulu raconter l’histoire d’un collégien qui arrive au collège et qui tombe malgré lui dans une classe où il y a un élève populaire. Clarence (l’élève populaire) est une sorte de chef dans cette classe , donc il dit à toute la classe de voter pour le garçon comme prévu il est élu délégué avec une jeune fille, Marguerite. Ces deux délégués vont devenir amis grâce à Clarence (l’élève populaire).

En conclusion, nous avons bien aimé ce livre mais on reste un peu sur notre faim à la fin du livre. Peut-on décider de tout pour tout le monde même si on est populaire? Le livre est bien écrit les textes sont écrits gros donc il est tout public. Les illustrations sont belles mais pourquoi les personnages ont-ils des têtes toutes blanches?

(Thomas, Dino)

Après une drôle d'existence perdue au fond d'un placard, cadeau à offrir remplacé puis oublié, ce livre a réapparu dans mon existence il y a peu. Il contient tout ce qu'on demande au théâtre : de la vie vue sous un angle qui n'est pas le nôtre, et nous enrichit. Peut-être pas d'argent, soit, mais tout de même.

Les textes regroupés dans ce court volume sont très divers, et représentent chacun une manière de voir les choses qui se veut complète. Leur addition en est donc éclairante.

Pour le premier volume des "Petites Formes de la Comédie Française" que je lis, c'est l'envie d'en trouver d'autres qui en ressort. En espérant qu'après ces années d'oubli il ne soit pas trop tard.

A force d’allers-retours un peu systématiques, le regard qu’elle porte sur ce qu’elle est et sur sa soi-disant réussite change. La prise à voyager dans le temps joue comme un artifice concret pour faire accélérer la prise de conscience et varier les plaisirs des situations. Jamais dans le futur.
Lien : https://next.liberation.fr/l..

J'ai choisis ce livre pour:

-sa lecture "rapide"



Un cours sur le hip-hop , un élève interrogé , un prof pour l'humilier et du clash en rimes .



Critique : Master me laisse assez perplexe , je dois avouer ne pas tout avoir compris . J'ai un peu lâché quand l'interro s'est transformée en clash et que le prof t l'élève n'ont pas arrêtés de s'envoyer des pics . Je trouve que les répliques ne sont pas facile à décrypter : on rappe pis d'un coup on s'arrête ! Et puis le fait qu'ils ne soient que deux à interagir et assez lassant et il est difficile de lire jusqu'au bout .

Personnellement j'ai trouvé que ce livre n'était pas à la hauteur de mes attentes , les échanges entre l'élève et le professeurs sont longs et pour ma part ennuyant , je suis un peu déçu.



A.O



J'ai bien aimé car c'est un livre pour les jeunes qui parle de hip hop et de rap il y a aussi de la culture.



J'ai pas aimé ce livre car je trouve le système de battle trop long.

T.D.



Ce serait dans un futur proche. Tellement proche qu'on ne verrait aucune différence avec le présent d'aujourd'hui. Sauf une chose: le rap est devenu une matière enseignée au collège. Ce qui veut dire qu'on étudie son histoire, ses œuvres majeures, ses grands noms, ses dates, ses principales batailles, ses différents courant, son évolution, mais aussi, ses techniques, ses styles, ses différents types de flow. On en enseigne aussi bien le théorie que la pratique. Tout se passe dans une salle de classe donc, pendant qu'un élève passe un examen oral de rap devant son professeur. Et comme dans le rap, ainsi qu'à l'école, il est souvent question de pouvoir, l'examen menace de tourner à l'affrontement, ou même pire: au clash, ou carrément à la Battle. Deux visions s'affrontent: celle du prof, blanc, ayant connu les débuts du rap dans les années 80 et celle de l'élève, issu de l'immigration, vivant dans la cité, ne connaissant pas l'histoire du mouvement,mais possédant une pratique du rap et du tag. Qui s'imposera comme le master? Et, surtout, un dialogue est-il possible?



J'ai trouvé ce vraiment décevant, on m'avait prévenu de la forme du livre. Mais je ne m'attendais pas à un livre si peu élaboré. Ce ne serait pas un livre que je conseillerai aux fous de la lecture ni même aux non lecteurs

C.L

Dans une classe où le professeur annonce à ses élèves une interro orale, un élève nommé Amine ,dont la mère et malienne et son père algérien. Mais l'interrogation tourne vite au clash, à la battle et au concours de graff.

Critique: Je n'ai pas aimé ce livre car je trouve que les dialogues entre l'élève et son prof sont longs.

D.L



le livre raconte l'histoire d'un professeur qui interroge un élève sur la culture du Hip-Hop. Cet élève n'a pas appris son cours la veille, et met son professeur en colère. Puis, le professeur lui donne des conseils sur la révisions et l'élève se met à répondre à son professeur. Ensuite, le professeur apprécie son énervement sur la culture. A la fin de l'histoire le professeur le remercie de son interprétation.



Je n'ai pas aimé le livre parce que je le trouve ennuyeux et qu'il n'y a pas beaucoup d'émotions mais j'ai comme appris des choses. Exemple: la naissance du rap et du Hip-Hop ( Etats-Unis).

M.G



C'est l'histoire d'Amine qui est en classe de rap et son professeur l'interroge . Puis après quelque questions Amine ne répond toujours pas aux questions , alors son professeur l'humilie devant ses camarades . Et il dit des punchlines pour faire face à son professeur puis leur échange part en battle . Amine ne se laisse pas faire , son professeur va-t-il le renvoyer de cours ?



Je n'ai pas trop aimé car le livre est lassant . C'est une histoire qui est basée sur des punchlines .



MV



Résumé : Un cours sur le hip-hop , un élève interrogé , un prof pour l'humilier et du clash en rimes .

Critique : Master me laisse assez perplexe , je dois avouer ne pas tout avoir compris . J'ai un peu lâché quand l'interro s'est transformée en clash et que le prof t l'élève n'ont pas arrêtés de s'envoyer des pics . Je trouve que les répliques ne sont pas facile à décrypter : on rappe pis d'un coup on s'arrête ! Et puis le fait qu'ils ne soient que deux à interagir et assez lassant et il est difficile de lire jusqu'au bout .

L.B



Une classe,le professeur annonce une interro orale. Le professeur de hip hop demande à Amine de venir au tableau mais Amine n' a rien appris et il met le professeur en colère.



Je n'ai pas aimé ce livre car je le trouve ennuyeux .

A.He



Résumer

L'histoire se déroule dans une salle de classe où on enseigne le hip-hop sauf que se cours va se dérouler au "clash" pour un contrôle surprises



Critique

J'ai pas trop aimé ce livre car les dialogue sont trop longues et parce que ce livre est ennuyeux et long.



C.L

Résumé : Ce livre parle d'un professeur qui fait un cours, mais, un cours sur le rap. le prof interroge un élève sur son cours mais il ne l'avait pas appris alors lui et son prof commence un clash de rap.

Critique : J'ai trouvé ce livre très bien, mais un peu court. Je l'ai bien aimé car on en apprend beaucoup sur le rap et la cultuire urbaine, mais le livre ne dure qu'un seul cours de rap.

T.L



C'est une histoire d'un professeur qui donne une cours sur l'histoire du Hip-Hop . Il interroge un élève:Amine. Il ne sait pas sa leçon . L'élève commence à déclamer des répliques de rap et le professeur continue lui aussi il commence a faire une enchaine .

Je n'ai pas aimé le livre car je n'aime pas trop le hip-hop mais j'ai appris des chose sur l'histoire du hip-hop .

A.P