Le vent se lève.
Il est froid .Viscéral .
Il m'arrache à ce fragile équilibre et, en traître, me pousse à la chute .
Le vide m'accueille comme il l'a toujours fait :muni de sa gueule immonde.
Ses crocs se referment sur mon âme, la déchiquettent et la reduisent à néant.