Arracher le papier peint de ce conte de fées qu’est la maison familiale où le confort et le bonheur des hommes et des enfants ont été prioritaires... Il faut de l’habilite, du temps, de la dévotion et de l’empathie pour fonder un foyer qui fonctionne et dans lequel tout le monde se sent bien. C’est surtout un acte d’une générosité immense que d’être l’architecte du bien-être de tous les autres. Beaucoup de gens pensent encore que cette tâche revient aux femmes. Par conséquent, on utilise toutes sortes de mots pour minimiser cet effort monumental. (Pages 21-22)