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3.77/5 (sur 991 notes)

Nationalité : Afrique du Sud
Né(e) à : Johannesburg, Afrique du Sud , le 06/08/1959
Biographie :

Deborah Levy est une romancière, dramaturge et poétesse britannique.

Elle s'est d'abord concentrée sur l'écriture pour le théâtre — ses pièces ont été mises en scène par la Royal Shakespeare Company — avant de se concentrer sur la fiction en prose.

Ses premiers romans comprennent Beautiful Mutants, Swallowing Geography et Billy & Girl. Son roman Swimming Home a été dans la shortlist du Prix Booker en 2012 et The Man Who Saw Everything fut dans la première sélection du Prix Booker en 2019.


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Les livres de Deborah Levy sont des douceurs acidulées, des objets vifs et précieux, des surprises débordantes de sens et de sentiments. Ils sont si réconfortants qu'ils deviennent des amis. Son autobiographie « en mouvement », et en trois volumes ("Ce que je ne veux pas savoir", "Le Coût de la vie", "État des lieux") a fédéré, à raison, quantité de lecteurs en France. L'autrice anglaise, qui vit à Paris six mois de l'année, publie "La Position de la cuillère", un recueil de textes et de nouvelles dont elle donne la primeur à ses admirateurs français (il ne sortira en Angleterre que l'année prochaine). #litterature #booktube #livres Vous avez aimé cette vidéo ? Abonnez-vous à notre chaîne YouTube : https://www.youtube.com/channel/¤££¤20EmqspwO9¤££¤4fHZHvJdM38HA?sub_confirmation=1 Retrouvez-nous sur les réseaux sociaux ! Instagram : https://www.instagram.com/telerama TikTok : https://www.tiktok.com/@teleramafr Twitter : https://twitter.com/Telerama Facebook : https://www.facebook.com/Telerama

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Citations et extraits (237) Voir plus Ajouter une citation
"Je crois au pouvoir de l’imaginaire qui recrée le monde,libère la vérité en nous,retient la nuit,transcende la mort,enchante les autoroutes,nous attire les faveurs des oiseaux, recueille les confidences des fous."
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Bourgeois had learned to sew at an early age in he
parents’ tapestry business. She thought of the needle as an object of psychological repair-and what she wanted to repair, she said, was her past.
(Bourgeois* à appris à coudre très jeune dans l’entreprise de tapisserie de ses parents.Elle considérait l’aiguille comme un outil de réparation-et ce qu’elle voulait disait-elle c’était réparer son passé .)
*Louise Bourgeois, artiste américaine d’origine française.
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Le chauffeur faisait penser à un philosophe dans un film de série B.Il avait une folle crinière de cheveux blancs,une longue barbe blanche, et portait une veste en tweed élimée.J’étais tentée de lui poser quelques questions philosophiques basiques : Notre univers existe t-il vraiment ? Qu’est-ce que l’âme ? Le doute est-il le point de départ de la sagesse ?
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De tous les arts, l'art de vivre est sans doute le plus important.
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La tempête

Au début, je n'étais pas sûre de pouvoir rejoindre le navire et puis je me suis rendu compte que je n'avais pas envie de le rejoindre. A priori, le chaos représente notre pire crainte, mais j'en suis venue à croire que c'est peut-être ce que nous désirons le plus.Si nous ne croyons pas à l'avenir que nous planifions, à la maison que nous payons avec un emprunt, à la personne qui dort à nos côtés, alors peut-être qu'une tempête ( longtemps tapie dans les nuages) pourrait nous rapprocher de ce nous voulons être au monde.

( p.15)
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Devenir ce que quelqu'un à imaginer pour nous, ce n'est pas la liberté - c'est hypothéquer notre vie contre la peur des autres.
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(...) C'est ce qui me contrariait le plus, de voir qu'il avait kidnappé mon esprit et l'occupait entièrement. Ça n'était rien de moins qu'une occupation. Mon chagrin était en train de devenir une habitude qui rappelait la tristesse décrite par Beckett, "à laquelle on peut toujours ajouter jusqu'à ce que mort s'ensuive (...) comme à une collection de timbres-poste ou d'œufs d'oiseaux".
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« Angleterre » était un mot excitant à écrire. Ma mère m’avait dit que nous étions en exil et que nous retournerions un jour dans mon pays natal. L’idée que je vivais en Exil et non en Angleterre me terrifiait. Quand j’ai dit à ma nouvelle copine Judy (qui était née à Lewisham) que je ne voulais pas vivre en Exil, elle a dit « C’est clair, moi aussi ça me foutrait la trouille »
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J'ai pleuré comme une femme quand j'ai su que mon mariage était terminé. J'ai vu un homme pleurer comme une femme, mais je ne suis pas sûre d'avoir déjà vu une femme pleurer comme un homme.
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Arracher le papier peint de ce conte de fées qu’est la maison familiale où le confort et le bonheur des hommes et des enfants ont été prioritaires... Il faut de l’habilite, du temps, de la dévotion et de l’empathie pour fonder un foyer qui fonctionne et dans lequel tout le monde se sent bien. C’est surtout un acte d’une générosité immense que d’être l’architecte du bien-être de tous les autres. Beaucoup de gens pensent encore que cette tâche revient aux femmes. Par conséquent, on utilise toutes sortes de mots pour minimiser cet effort monumental. (Pages 21-22)
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