Lorsque ces terreurs nocturnes, ces rêves éveillés, s’étaient peu à peu effacées, il avait cru en être débarrassé pour de bon. Mais rien de ce que l’on fait ne disparaît vraiment ; c’est comme une présence, dans les bois, entre les arbres, qui attend son heure, l’heure de s’asseoir à votre table, pour dire la vérité, quoi qu’il en coûte, et s’assurer qu’il ne vous reste plus un instant de paix de toute votre vie.