Destin resta silencieux un instant, semblant réfléchir. Puis il reprit : « Les Lignes…Vos vies. Oui, je les écris d’avance ».
Jean, tremblait, attendant la suite dont dépendait la vie de son aimée.
Destin continua : « Les Lignes ordinaires sont tracées d’avance, et ce, du Commencement jusqu’à la Fin… ».
Ces mots furent un coup de poignard dans le cœur de Jean.
Destin ajouta, imperturbable : « Nul ne peut changer ce que j’ai écrit. Même Moi».
Le dernier espoir, la dernière possibilité, la dernière chance venait de s’écraser sur les mots durs de Destin.