Que des choses dont on pouvait se passer ailleurs, mais que l’on prenait à Venise pour tromper l’ennui. Oui, l’ennui, parce qu’au bout du compte, Venise, c’est tout petit, et après en avoir fait plusieurs fois le tour, gavé de beauté, saturé de grandeur, on ne trouve plus rien d’autre à faire que s’assoir à la terrasse d’une auberge. Boire sans soif, manger sans faim, dépenser sans nécessité l’argent qu’on ne peut décemment distribuer aux nécessiteux…