Je suis anéanti
Je suis anéanti, et les parcelles de mon corps ont été jetées
Dans ce firmament qui est ma patrie originelle
Toutes sont ivres, joyeuses, amoureuses du Vin
De l’Invisible, par crainte de cette prison qui est moi-même.
/Traduction du Persan par Eva de Vitray-Meyerovitch et Djamchid Mortazavi