Pour Charazac, "toute la psychopathologie gériatrique peut s'interpréter du point de vue de l'omnipotence" : fantasme d'abord du patient dont les blessures narcissiques réactivent des fantasmes infantiles d'omnipotence et, chez le soignant, réactions de défense "directement issues de cette image narcissique du patient, notamment celle de toute-puissance destructrice qui lui est inconsciemment prêtée".