Enfin, force est de constater le devenir fou, à proprement parler, des partisans de l’ordre établi. Le syndrome du camarade soviétique Lyssenko a désormais franchement changé de camp : il sévit aujourd’hui parmi les partis politiques de droite, parfois du centre, et possiblement au-delà. Et ces fous deviennent de plus en plus virulents.