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Critiques de Dominique Delescaille (7)
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Ma grand-mère, cette jeune polonaise morte à Au..

un bon petit livre écrit par la fille journaliste de cette enfant juive, sauvée du nazisme. L'auteure a fait de son mieux avec le peu d'éléments qu'elle avait. On ressent toute la frustration des silences et de l'inconnu, qui ont été le quotidien de cette femme. On y découvre des gens simples qui ont agi avec amour et humanité, sauvant ce bébé. Il y a aussi un vrai travail d'historien en toute simplicité sur cette période en Belgique.
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Ma grand-mère, cette jeune polonaise morte à Au..

Voici un magnifique témoignage, un récit, pour lequel une mère et sa fille remontent le temps jusqu'aux heures les plus sombres de l'histoire, afin de connaître leur origine.



Liliane, mère de notre narratrice sait depuis l'âge de 12 ans qu'elle n'est pas celle qu'elle croyait être...Elle a été accueilli par une famille Belge alors que le nazisme faisait rage en Europe.



Nous apprenons comme se déroule son enfance dans sa famille de coeur en temps de guerre et d'occupation, alors que les crimes, notamment , sur le peuple Juif se multiplient.



Puis s'ensuit une enquête que Liliane va mener avec l'aide et le soutien de sa fille, journaliste. Elles vont toutes deux en apprendre plus sur la véritable mère de Liliane ainsi que sur sa terrible destinée.



Mais tout ne va pas être simple, il va falloir faire preuve de beaucoup de ténacité afin d'obtenir certaines reconnaissances.
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Ma grand-mère, cette jeune polonaise morte à Au..

Dominique Delescaille est journaliste belge. Elle veut retrouver l'identité de sa grand-mère naturelle car sa mère a appris brutalement à 12 ans que celle qu'elle considérait comme sa mère n'était que sa mère adoptive. Sa mère biologique l'aurait abandonnée tout bébé et son véritable nom n'est pas celui qu'elle a porté jusque là. La narratrice va enquêter sur le passé maternel et découvrir que le nazisme et la persécution des juifs sont à l'origine d'un drame familial.

Je remercie Masse Critique de Babelio et les éditions Jourdan de m'avoir permis de découvrir ce témoignage de la Seconde Guerre Mondiale d'une enfant rescapée des rafles. Je ne connaissais pas cette histoire qui a été publiée dans plusieurs magazines et journaux il y a quelques années. J'ai trouvé cette lecture difficile et compliquée souvent, on se perd parfois dans les méandres de l'histoire, c'est dommage. En revanche, la présence des photos en noir et blanc à l'intérieur du livre est une bonne idée, elle permet de diversifier la lecture et de la rendre plus concrète. Je n'ai donc pas partagé toute l'émotion des personnages principaux, je suis passée un peu à côté, je le regrette.
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Ma grand-mère, cette jeune polonaise morte à Au..

Dominique Delescaille a une maman qui a une histoire particulière. Car à l’age de 12 ans, elle apprend tout à fait par hasard qu’elle est une enfant adoptée et que le nom qu’elle avait toujours porté jusque-là n’est pas le sien, et que les parents qu’elle croyait être les siens sont en fait des parents adoptifs.



Ces parents, très affectueux au demeurant, refuse de lui dire qui sont ses véritables parents. Et la petite fille va rester dans l’ignorance très longtemps…



C’est sa fille, l’auteur, qui va faire les recherches nécessaires pour tenter de retrouver la trace de ses véritables grands-parents.



Ce récit m’a bouleversé ! Littéralement !



D’abord, parce que cette histoire se passe dans ma région, dans ma ville. Les lieux dont elle parle me sont bien connus, et c’est encore plus bouleversant de situer si clairement les événements qu’elle relate.



C’est un témoignage important, dans le sens où des enfants qui ont vécu la même chose que sa mère n’ont pas pu, eux, retrouver leurs vraies origines. Ils n’ont pas avoir de nom, n’ont pas pu mettre un visage sur leurs parents. Au-delà du cas isolé, il s’agit de faire éclater la vérité au grand jour : la dénonciation, au temps de la Seconde Guerre Mondiale, était monnaie courante, même chez moi, à Charleroi. Et lire ça, c’est se réveiller : c’est réaliser que tout ça n’est pas seulement arrivé loin de chez nous.



En toute humilité, tout simplement, Dominique Delescaille explique ses trouvailles, raconte ses émotions et celle de sa maman, rouvre son album de souvenirs. C’est poignant, émouvant, et on en sort bouleversé !



Je ne peux que le conseiller !
Lien : http://au-fil-des-pages477.b..
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Ma grand-mère, cette jeune polonaise morte à Au..

Tout d'abord merci à Masse Critique, Babelio et aux Editions Jourdan pour m'avoir fait découvrir ce livre. Quand on a le livre en main on se demande si on va avoir le droit à quelque chose de touchant mais peu "original", tellement de récits ayant été écrits sur le sujet, et la réponse est non, bien évidemment c'est un récit extrêmement touchant qui m'a fait pleurer plusieurs fois durant ma lecture. Ici pas de témoignage sur la Shoah à proprement parlé mais plutot un travail de reconstitution du passé de Liliane / Louise à la recherche de ses origines. J'ai trouvé le témoignage de Dominique Delescaille très émouvant et sobre, on est dans la description des démarches entreprises avec sa mère (la fameuse Liliane / Louise) et c'est un vrai parcours du combattant... j'ai aimé découvrir les nouvelles infos concernant la famille de Liliane ainsi que les photos et on ressent l'émotion de cette femme qui découvre d'ou elle vient à 68 ans et qui renaît finalement ce jour-là. Je conseille cet ouvrage qui change des témoignages sur le sujet et qui offre une autre perspective tout en conservant une belle émotion et une vraie sincérité.
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Ma grand-mère, cette jeune polonaise morte à Au..

Je remercie Babelio et sa masse critique spéciale qui m’a permis de découvrir ce témoignage émouvant, raconté par la petite fille d’une jeune femme juive.



Je ne vais pas révéler le contenu de cet ouvrage, le résumé et la page de couverture en disent largement assez. Mettons simplement les choses dans leur contexte. Nous sommes dans les années 1990-2000, et l’auteur, qui est journaliste, décide d’en apprendre davantage sur les origines de sa maman, qui a sois disant été abandonnée, et de ce fait, sur ses grands parents. Ses recherches vont prendre beaucoup de temps, et je ne peux que louer la patience et la détermination de Dominique Delescaille.



A lire, c’est assez… compliqué je dirais faute de trouver un meilleur terme. En effet, il n’y a pas vraiment d’histoire continue. L’auteur évoque parfois des souvenirs de sa mère enfant, adolescente ou autre, puis revient sur des recherches qu’elle a entreprit avant de repartir dans le passé le temps d’une anecdote. Pas toujours facile à suivre mais on s’y fait. Egalement, beaucoup de surnoms sont utilisés par l’auteur et parfois j’ai eu vraiment du mal à retrouver qui était qui. On voit qu’elle a écrit selon son coeur, selon ses pensées. Mais à vrai dire cela ne m’a pas dérangé. j’ai vraiment apprécié ses efforts déployés, et tout ce qui en a résulté pour sa mère. Ce n’est pas vraiment un récit de guerre, mais plutôt de recherche d’identité qui s’est vu compliqué de part la guerre qui a tout remis en cause.



A lire pour approfondir des connaissance sur cette période que fut la seconde guerre mondiale, et découvrir l’histoire d’une femme qui ne verra le visage de sa mère pour la première fois qu’à 68 ans grâce aux recherches acharnées de sa fille.
Lien : https://refugelitteraire.wor..
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Ma grand-mère, cette jeune polonaise morte à Au..

Très beau et émouvant témoignage sur une période noire de l'histoire.
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