Comme le jardinier, le pêcheur à la ligne s'évanouit volontiers dans le paysage. Ses horaires sont incompréhensibles, ses postures déroutantes..... Mais il y a beaucoup plus grave. Fondus dans la verdure, nos deux lascars, l'un avec ses vers de terre et l'autre avec ses graines récupérées de l'an dernier, produisent du poisson et des légumes à partir de rien..... Cette échappée hors de la consommation, c'est inadmissible.