Le soir, j'appréciais la regarder s'endormir, tranquille, après à peine dix minutes de route. Me dire que j'avais réussi à la mettre suffisamment en confiance pour qu'elle lâche prise, ne serait-ce que vingt minutes. Jeanne est venue à moi craintive, nerveuse et indomptée, mais elle n'attendait que d'être apprivoisée.
Pourtant, finalement, mon radar me dit que c'est le bon. Nan, le radar à gays n'est pas un mythe, en tout cas, moi je l'ai !