Au bureau, j'étais capable de mettre la main à tout. Bientôt je devins celle qui pouvait remplacer au mieux les malades et les incompétents. Je ne me rappelle rien qui m'ait fait autant plaisir dans ma vie : quel soulagement, quelle allégresse, d'entreprendre un nouveau travail et de bien m'en tirer. J'étais éprise d'intelligence, éprise de moi-même