L'idée de se retrouver à dix milles mètres d'altitude dans le vide, attaché à son siège, à la merci du pilote, des contrôleurs aériens, des mécaniciens chargés d'entretenir l'appareil, des ingénieurs qui en avaient dessiné les plans, mais aussi de la météo, des oiseaux, des terroristes et, dans une certaine mesure, des autres passagers, l'effrayait autant que les abysses au-dessus desquels naviguaient les bateaux. ( p 289 )