La loi est claire : en cas de traitement discriminatoire supposé, c'est à l'employeur d'apporter la preuve que sa décision repose sur des critères objectifs, étrangers à toute discrimination. Le salarié s'estimant victime doit fournir des éléments laissant apparaitre la vraisemblance de son témoignage mais depuis la dernière loi, il ne doit plus en apporter la preuve.