Ouvrir en cachette un tiroir dans l'appartement de quelqu'un, sentir l'odeur d'une armoire, toucher les objets, se glisser dans les scènes sur les photographies exposées dans une vitrine, me remplissait d'un profond émerveillement. Aujourd'hui encore je perds le souffle devant la porte entrouverte d'un placard, d'une arrière-boutique, devant la grille d'une cave.