Nous ne pouvons plus, comme le faisaient nos ancêtres, parler des centaines et des milliers d'années qui seraient devant nous. Plus aucune année n'est sûre. Il nous suffit d'imaginer l'existence d'un fou, d'un allumeur de mèches, pour que se dessine la perspective de la fin de l'histoire du monde en tant qu'incarnation de la bête apocalyptique.
10. Café "Apokalypsis", (p. 91)