« Réfugiés, tous des gueux ! Tous pouilleux ! « Ils en avaient plein la tête, ils étaient sur les routes depuis des semaines, avaient couché sur des matelas grouillants, dans des maisons abandonnées, des manteaux étrangers, parfois ôté leur bonnet aux morts, il faisait si froid. Ca démangeait tout le temps, on se grattait jusqu’au sang.