Bon dieu ce que j'adore les TMNT !
Je ne vais pas en faire des tartines parce que ce que je n'aime pas raconter une histoire et que je préfère laisser les gens la découvrir.
En gros ce tome est centré sur la prise de pouvoir du clan Foot sur la ville de New York, avec son lot de rebondissements, tout un tas de personnages secondaires et les manigances tout azimut de Shredder.
Une des tortues est manipulée, les autres sont un peu paumées et doivent faire une alliance un peu contre nature pour la sauver.
Tous les clans de Big Apple doivent se ranger au côté des Foot ou en subir les conséquences.
Casey doit lutter pour sa vie mais aussi contre un être proche qui fait un retour fracassant.
Les personnages secondaires sont légions et tous bien traités, des flics ripoux au paumés du coin en passant par les divers mutants. Tout s'enchaîne à merveille et on suit ça avec bonheur.
C'est sombre, tendu, haletant et débordant d'action tout en n'étant pas dépourvu de réflexion et de psychologie des personnages.
Nos quatre tortues sont vraiment reconnaissables, outre la couleur de leur bandeau, à leur caractère vraiment très différents et très bien rendu.
Et bien sûr entre en scène sur la quasi totalité du tome, le merveilleux Mateus Santolouco et punaise ce que c'est bon.
Si vous n'avez pas attaqué les tortues franchement c'est à lire si vous aimez, dans le désordre, les mutants, l'action, le japon médiéval (en tout cas son image en occident), les héros urbains, les sentiments forts, les bonnes histoires et les tortues bien sûr :D
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• Secret Wars : Le Gant de l'Infini
• Gerry Duggan (Scénario) & Dustin Weaver (Dessin)
• Panini Comics
L'évent Marvel Secret Wars de 2015 avait permis de nombreuses choses en instaurant un monde "patchwork" où tout était possible. Ainsi dans ce nouveau monde, certains auteurs ont essayés de livrer leur propre interprétation d'anciens évent en surfant bien entendu sur leur nom.
C'est le cas ici pour Secret Wars : Le Gant de l'Infini, qui "reprend" l'évent bien connu de 1991.
Pourquoi l'utilisation des guillemets pour "reprend" ?
Parce qu'en vrai, a part le nom, il n'y a pas grand chose qui fasse le lien.
Alors... On a le gant de l'infini, on a les pierres, on a Thanos qui les cherche... Bah on se rapproche quand même pas mal non ?
Eh bah non ! Pas du tout ! Si on a les ingrédients principaux, on vient y ajouter d'autres ingrédients qui font que ça n'a plus rien avoir.
Et c'est une bonne chose ?
Que ce ne soit pas une simple redite de l'ancien évent, oui.
Mais c'est mal fait...
Si j'utilisais plus haut le terme d'ingrédients, on va rester dans le registre de la cuisine.
Quand on veut revisiter une recette, il nous faut les ingrédients principaux, et leurs ajouter des petits trucs en plus qui matchent.
La on a les ingrédients de base et on vient en ajouter d'autres, mais ça match pas, mais alors pas du tout !
Les ingrédients principaux deviennent clairement secondaires, et les ingrédients ajoutés ne sont pas bons.
Pour revenir dans les termes livresques, les personnages que l'on connait sont extrêmement secondaires dans le récit, et les nouveaux personnages qui deviennent les personnages principaux sont tout simplement insipides...
J'ai voulu découvrir les tie in que pouvaient offrir un évent tel que Secret Wars, et forcé de constater qu'il y a du bon et du moins bon, vous l'aurez compris, ici on est dans le moins bon.
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Dans ce second tome, on trouve deux récits qui se déroulent quelques mois après la prise de pouvoir de Palpatine et quelques mois après la bataille de Yavin.
Dans le premier récit, Vador réveille Celeste Morne de son sarcophage dans l'espoir de s'emparer du pouvoir du talisman…
On retrouve des personnages connus de la série « Dark Times » et un Comics que je n’ai pas su déterminer son nom (où Luke semble avoir recruter un ancien clone de l’Ancienne République !?!). Le récit est plaisant et le combat entre Vador et Céleste est plutôt réussi. Un combat dont l'issu sera forcément négatif…
Le second récit est en lien avec le premier mais cette fois-ci, ce sont les rebelles, menés par Luke Skywalker et Leia, qui vont avoir affaire aux Rakghouls. Cette histoire est particulièrement intéressante notamment grâce à quelques clins d'oeil sympathiques (par exemple, on apprends dans ce Comics que Leia est sensible à la Force - chose évidente pour le lecteur mais non su à cette période de l'histoire de Star Wars / on découvre aussi donc cet ancien soldat Clone qui n'a pas obéi à l'ordre 66…).
Celeste Morne est la gardienne d'un pouvoir Sith très dangereux pour la galaxie et va se retrouver face à un dilemme… et c'est ce qui est palpitant également dans ce Comics ; quelle solution va adopter Celeste pour sauver la galaxie ou la plonger dans le chaos…
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Un second tome plus intéressant qui voit l'intrigue se développer autour d'un Maître Jedi riche et puissant, des Mandaloriens qui semblent être dirigés dans l'ombre et un Zayne Carrick qui est plus important qu'il n'en a l’air dans l'affaire de l’assassinat des Padawan…
L'histoire est parfois très intéressante et parfois je trouve qu'elle se perd dans des histoires politiques, des histoires de pouvoir et d'argent qui sont difficiles à suivre.
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Ce second tome des Avengers de Hickman rentre encore plus dans la complexité. Comme l'aime l'auteur, il se joue des temporalités, de l'emplacement physique et surtout apporte des notions qui vont être développées par la suite comme toutes les souches envoyées par Ex Nihilo.
Graphiquement, je trouve ca dommage que les dessinateurs se succèdent et qu'on ne garde pas qu'une seule patte graphique tout du long. Pour autant, les dessins sont très beaux et on ne peut pas pleurer sur l'avalanche de détails dans les cases.
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Dans son premier tome des Avengers, Hickman met en place sa propre équipe de vengeurs. Une équipe qui est prête a être "activer" en cas de besoin.
Le moment est venu et cette nouvelle équipe va devoir faire face à une menace de taille.
Hickman nous présente ici une équipe de vengeurs très "galactique" qui sort des standards, d'un côté il sera intéressant de découvrir certains personnages, d'un autre il sera dérangeant de s'éloigner des équipes plus classiques que l'on a pu connaitre.
L'auteur aimant construire sur le long terme, son récit est comme à son habitude complexe et nous n'avons pour le moment pas tout les tenants et aboutissants mais il arrive à nous captiver.
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Ce premier tome des Avengers par Hickman est symbolique du style de l'auteur. C'est-à-dire complexe dans la compréhension car Hickman sait se jouer d'une construction globale dans ses récits, mais également référencée sans que cela soit pénalisant pour le lecteur.
C'est la ce que j'aime chez Hickman, cette façon d'exploiter le médium du comics sans rentrer dans les codes actuels avec des arcs prédéfinis ou un abus conséquents de climax sans queue ni tête.
Graphiquement, la partie de Opena est superbe et contraste avec celle de Kubert qui semble être plus brouillon et dont la couleur semble moins travaillée.
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Une séparation, des révélations, des rebondissements… ce tome conserve le rythme. Le petit plus s'incarne en des personnages secondaires comme Carth Onasi ou Saul Karath tout droit venus de la franchise KotOR (jeux vidéos qui ont initié ce nouveau pan de la franchise Star Wars). Une manière de connecter un peu plus cet univers si étendu.
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La fuite de nos héros se poursuit. Loin de Taris, les ennuis sont loin d'être terminés mais ils parviennent petit à petit à reprendre pied pour enfin se lancer à la poursuite des Jedi assassins. Conflits politiques, réunion familiale, missions périlleuses, ce tome enchaine les nouveaux lieux et intrigues secondaires sans jamais oublier de proposer quelques indices sur le fin mot de l'histoire.
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Vraiment pas le meilleur event. On est bien loin de House of M ou Civil War. Tout est brouillon et va beaucoup trop vite pour que cela soit crédible. Les 6 chapitres se laissent lire mais ne sont clairement pas indispensables. Le seul intérêt de cet event étant la destruction de la cité des Inhumains, Attilan et les répercussions que va apporter le nuage de brume teratogène pour la suite. (A savoir beaucoup moins de mitant et beaucoup plus d'inhumains).
A lire si vous souhaitez en savoir plus sur les Inhumains, mais pas primordial, loin de là.
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J’avais décidé de ne pas poursuivre cette série dont le premier tome m’avait déçu. Mais Pavlik m’ayant convaincu d’aborder le récit Infinity il faut bien que j’en passe par les épisodes précédents.
Cet opus m’a un peu plus fait plaisir. Je reste convaincu de manquer des références nécessaires pour suivre toute l’histoire (qu’est-ce que ce Superflux ? que sont ces Instants Blancs ? d’où sort Captain Universe ?) et j’ai encore du mal à suivre les dialogues sans détenir le contexte, mais j’y ai trouvé plus de positif.
La première partie reste dans le registre cosmique : les héros les plus puissants sont présents ; désormais Thor n’est plus qu’un soldat de niveau moyen ; les ennemis sont d’un calibre Galactusien ou peu s’en faut. Surtout, l’humain lambda n’est plus que de la cher à cramer. C’est sombre, violent. Les crânes émergeant de la catastrophe de l’Université, on n’est plus dans les comics de papa (le mien en fait). Mais certaines mises en scènes sont remarquables, comme celle de la création de Starbrand qui n’était qu’un étudiant transparent. Sa transparence est montrée dans quelques scénettes sur lesquelles il est présent sans qu’on le remarque, mais sur lesquelles on revient après coup.
C’est cependant la dernière partie qui m’a plu le plus. Elle met en scène des héros de niveau moyen aux caractères trempés mais divers - une Veuve Noire psychopathe, une Captain Marvel leader et vamp, d’anciens Nouveaux X-Men délurés – en mission d’infiltration chez l’A.I.M. Le ton d’humour de second degré est très plaisant. Il y a des morts, mais plus dans un esprit Quentin Tarantino. Les réparties font mouche. Les gars de l’A.I.M. ressemblent à des écoliers maladroits. Bref c’est marrant. Et le retour de Shang-Chi, que je n’avais pas vu depuis bien longtemps, sous une apparence très Bruce Lee ne gâte rien.
Reste que pour l'instant on ne voit pas très bien où tout ces éléments disparates vont nous mener, mais c’est meilleur que ce que je craignais.
Je vous conseille de lire aussi la critique presse de ComicsMarvel, disponible sur cette page Babelio, avec laquelle je partage de nombreuses vues.
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Toujours aussi abscons par moments, avec des personnages peu développés, mais l'intrigue a le don de fasciner, quand bien même elle finira par rebuter les nouveaux lecteurs à cause de trop nombreuses références, parfois obscures, à l'univers classique de Marvel. Mike Deodato remonte le niveau des dessins et l'on se demande encore où Hickman va nous mener.
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La fuite du jeune Padawan Zayne se poursuit. Aidé de ses compagnons de fortune, une belle, un escroc et un savant fou, les voici en quête de vérité à travers les galaxies et la bordure extérieure où la guerre s'étend entre L'Empire et les Mandoloriens qui semblent être instrumentalisés.
On entre un peu plus dans le complot politique. Il est fait allusion au Sith sans pour autant croiser de sabre laser rouge. Les sentiments prennent le dessus chez certains maîtres Jedi et rappelons le notamment la passion, la quête du pouvoir ou l'intérêt conduisent au côté obscur de la force.
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Le présent tome comprend les épisodes 1 à 6 parus en 2013, écrits par Jonathan Hickman, dessinés et encrés par Jerome Opeña (épisodes 1 à 3, avec une mise en couleurs de Dean White), et par Adam Kubert (épisodes 4 à 6). Cette série se déroule concomitamment à celle des New Avengers (à commencer par Everything dies), également écrite par Jonathan Hickman (avec l'aide de Nick Spencer).
L'histoire s'ouvre avec un présage : celui d'une destruction d'une ampleur inégalée qui trouve ses racines peut-être dans la libération d'Hyperion, peut-être dans la défaite de la Garde Impériale des Shiar, ou peut-être dans la terraformation de Mars par une entité humanoïde appelée Ex Nihilo. Quoi qu'il en soit tout commence avec 2 individus : Steve Rogers (Captain America) et Tony Stark (Iron Man). Stark a eu une nouvelle idée pour améliorer l'efficacité de l'organisation de l'équipe ; Rogers la valide. Une équipe (composée de Captain America, Hulk, Hawkeye, Black Widow, Iron Man et Thor, oui comme dans le film) se rend sur Mars pour expliquer à Ex Nihilo, Abyss et Aleph qu'ils n'ont pas le droit de supprimer la vie humaine sur Terre. Par la suite, cette équipe reçoit du renfort de Captain Universe (Tamara Devoux), Wolverine, Spider-Man, Captain Marvel, Spider-Woman, Falcon, Smasher (Izzy Dare), Manifold et encore 4 autres (surprise).
En 2012, l'éditeur Marvel Comics décide de faire converger les séries X-Men et Avengers dans un crossover généralisé de grande ampleur Avengers versus X-Men (AvX pour les intimes). Après cet événement, c'est l'occasion de redémarrer la plupart des séries avec un nouveau numéro 1 et des nouvelles équipes de créateurs, surtout de nouveaux scénaristes ayant la lourde tâche de créer des histoires intégrant les diktats éditoriaux, eux-mêmes engendrés par le succès des films Marvel, à commencer par Avengers (2012). Après 9 ans en tant que scénariste de la série Avengers, puis en parallèle de la série "New Avengers" (en passant par une série "Mighty Avengers" et une "Dark Avengers"), Brian Michael Bendis laisse sa place à Jonathan Hickman qui vient de finir ses histoires pour les Fantastic Four (avec Fantastic Four 6 et You are whatever you want to be).
Il s'agit d'une expérience peu commune de lecture d'histoire de superhéros, même pour un lecteur blasé. Hickman respecte tous les points de passages obligés. Il y a bien sûr la phase de recrutements des Avengers pour former l'équipe. Plutôt que de rassembler les membres restant dans une pièce autour d'une table, ou de faire intervenir une organisation gouvernementale imposant ses choix, Hickman montre comment Tony Stark a repensé le recrutement de manière radicale pour faire face aux attaques potentielles, et comment il soumet son projet à Rogers qui est l'âme de l'équipe. En 1 case, il a rappelé comment les Avengers avaient retrouvé Rogers prisonnier de la glace, et les bouleversements que ça a engendrés pour Stark. Hickman a une capacité surnaturelle à citer un événement connu des lecteurs, le synthétiser pour en tirer la substantifique moelle et en montrer l'impact émotionnel sur un héros, du grand art. Si toutes les séquences de recrutement ne sont pas montrées, celles qui le sont valent le déplacement (par exemple Sam Guthrie et Bobby da Costa sur un transat à se dorer au soleil recevant un appel de Wolverine).
Bien sûr il y a de nouvelles recrues. Mais Hickman ne se limite pas à aller piocher dans le catalogue pléthorique de Marvel pour donner un coup de projecteur sur tel ou tel personnage peu employé (à tort ou à raison). Il les choisit également pour leur valeur mythologique. Captain Universe élargit l'horizon du récit à celui de l'univers. Smasher établit un lien avec la race extraterrestre des Shiar. L'habilité de la narration est telle qu'Hickman semble réussir le pari de rendre plausible une forme de théorie unificatrice qui rendrait toutes les approches mythologiques évoquées, à la fois compatibles et cohérentes.
Bien sûr, le lecteur guette le nouvel ennemi à l'envergure telle qu'elle justifie qu'il faille une équipe de superhéros pour s'en occuper. Hickman ouvre le récit par lui, explique ses motivations, en fait un agent du changement et du progrès. Si la baston arrive bien en bonne et due forme, il survient plusieurs événements inattendus qui complexifient la situation, ce qui était à prévoir vu le nombre de personnages impliqués. Et pourtant il arrive quand même à insérer des moments dévolus aux relations entre les personnages, et même plus incroyable des séquences entre êtres humains normaux.
Les 3 premiers épisodes bénéficient des magnifiques illustrations de Jerome Opeña, complétées par la savante mise en couleurs de Dean White (ils avaient déjà collaboré sur la série Uncanny X-Force, à commencer par The Apocalypse solution). Le choix des couleurs et leur agencement est remarquable, très différent d'un travail habituel à l'infographie où l'artiste ne peut pas s'empêcher de faire de l'esbroufe avec les capacités de son logiciel. White (assisté de Justin Ponsor, Morry Hollowell, Frank Martin et Richard Isanove) utilise surtout des teintes un peu sombres, et un peu délavées, proscrivant les tons trop criards. L'apparence générale s'écarte alors des codes pyrotechniques des comics de superhéros pour une ambiance plus ambivalente. Le travail de Frank d'Armata et Frank Martin pour les 3 épisodes suivants est moins sophistiqués, tout en restant dans la même approche. Opeña dessine de manière réaliste, avec un goût certains pour les éléments relevant de la science-fiction. Il sait trouver des postures hiératiques pour les superhéros, sans donner l'impression au lecteur qu'il les a déjà vues des dizaines de fois. Il se limite à des expressions du visage en retenue, sauf quelques expressions malicieuses pour Tony Stark, très enjoué à l'idée de pouvoir innover. Par comparaison, les 3 épisodes dessinés par Adam Kubert semblent moins sophistiqués, plus ordinaires dans la composition des pages, et les postures des personnages, ou tout du moins plus classiques. Cela reste un travail assez personnel et d'un bon niveau qui ne nuit pas à l'immersion, mais qui n'apporte pas non plus une augmentation qualitative à l'égale de celle apportée par Opeña et White.
À l'issue de ces 6 épisodes, le lecteur en ressort avec des étoiles plein la tête, un élargissement de son horizon à l'échelle cosmique, des possibilités infinies s'ouvrent pour les futures missions de cette équipe. Il lui tarde de repartir aux cotés de ces individus efficaces et bien organisés, alors qu'une aventure d'une ampleur inimaginable les attend. À coté des séries "Avengers" et "New Avengers", il existe également une série militant pour le rapprochement entre mutants et superhéros (Uncanny Avengers, à commencer par The Red shadow de Rick Remender) et une série associant 2 superhéros différents par histoire (A + X, à commencer par Awesome, des team-up). Si vous êtes encore en manque d'Avengers, il y a "Avengers arena" de Dennis Hopeless (à commencer par "Kill or die") et "Young Avengers" de Kieron Gillen (à commencer par Style > substance). Et juste pour le plaisir : "Secret Avengers" de Nick Spencer.
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la suite des aventures de Zayne carrick ce padawan qui ets accusé de meurtres qu'il n'a pas commis!!!
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