– Ça n’a pas de raison ! Alors, je tue tout le monde ! Sans moi il n’y aurait pas de journaux ! Même s’il n’y avait pas de Tony Perelli on en inventerait un !
– S’il n’y avait pas de journaux, il n’y aurait pas de police.
– Dans ce cas, ajouta Angelo : à bas la Presse ! (p130)