– Si j’avais le choix, au lieu de vous libérer, je vous enverrais dans une chambre asphyxiante, avec les chiens enragés.
[ ... ]
– Inspecteur, je n’ai garde de vous menacer ; je ne tiens pas à retourner si vite dans l’horrible endroit d’où je sors… Mais je vous préviens : faites attention ! (p5)