Ces bals Berthelemot, ces billets drolatiques, ces costumes claquants sont des années 1836 et 1837, années où commence à paraître dans l'oeuvre de Gavarni une première image du carnaval, mais un carnaval paraissant descendre de la Courtille, sentir le corps de garde, la joie mauvais genre, avec, au bas, un texte cru qui n'a rien de la profondeur sans brutalité du verbe, rien de cette pointe de philosophie à la Rochefoucauld que contiendra , dans les suites futures de son carnaval, le littéraire engueulement de sa satire.