Pas de grasse matinée. Pas de magazine lu au lit. Babs renonçait à ces habitudes dominicales.
Aussitôt levée, elle traversait le palier seulement vêtue d'un trop court kimono de soie blanche, dans des sandales pieds nus, les cheveux défaits, souriant de son beau sourire, le premier de la journée, comme une répétition générale de tous les sourires dont elle allait gratifier ses invités.