La littérature, conçue comme une grande expérience sur les limites de l'humain, devrait toujours être cela : un détonateur, une catastrophe qui engendre, dans la vie, des changements irréversibles. Un facteur de déséquilibre. Plus un livre est doté d'une grandeur authentique, plus il devrait pouvoir féconder des formes de folie adaptées à cette grandeur. Mais tout cela est rare, et peu officiel.