Feyda m’avait fait parvenir le montant de mon retour en seconde classe, ainsi qu’une centaine de dollars pour que je m’achète quelques vêtements. Je choisis de les dépenser en livre - mes livres bien-aimés ! - et d’acquérir l’essentiel de l’œuvre des écrivains qui étaient en train de faire l’histoire littéraire de ce temps, particulièrement des dramaturges. Aucune garde-robe n’aurait pu me me procurer la joie que j’éprouvais devant ma petite bibliothèque