Il n'y a pas de conflit entre les instincts individuels et sociaux, pas plus qu'entre le coeur et les poumons : le premier organe est le réceptacle d'une précieuse essence de vie, le second la purifie et la fortifie. L'individu est le coeur de la société, abritant l'essence de la vie sociale ; la société est le poumon grâce auquel l'essence de vie - c'est-à-dire l'individu - reste pure et forte.